Full text of "La liberté (1919-09-09)"

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sur le papier, en th 
lee n'est guère ‘in succès 


. me me pied, à 5 heure - pour des lieux Toni progrès! at Ce 
nt: et ge an + her LS YCS 
| à est d'or. PKul doute que |feur cherche sà au eu (Pau a Réforme. c'eut-ù di: 1 
sont . ten en, faveur de!qous dit. que la. Juéchine, 2 mire. eut region en sine | = 
* [Lenoir des politiciéns qui . le-ljetée dans lu, rivière inte- | £ta “teoi FR sr Ru r er 
naient à son silence. Pour-un|Anne, où elle « complétement | Lil êmo on Le srl ÈS ED 
pres. r La id De Joss ere te nn ilen ns disp — T mn = à emmaire Fe af SO0ù 4: 
ions derniérement. Jusqu'àlces|le contrôle du ‘ gouvernement. ;dotinent ainsi es ines u-! st la pe \ jéu qui ne sera o 
nl | ce régime | a!ses au reste de la nation. vo pa one jamais. Tou- brofftubl uble à nul, Pourquoi, habitants. Bien “lot 


catholique était représentée par ues mois + 
.. % Len [dot s ils auront intérêtàce que !tomme le demande le Journal | Près. Lente = SH 


: deux inspeèteurs, - rs Goulet et Brunet; c'était modéste | un défieit d'une hentai. | 1 lès voit pratiquer, le d He 
Pr proportion, mais c'était ee ‘chose. : Lie de millions. ci, au Canada, l.avec une. aussi extraordinai LA e’pincé ne parle pas. d'Ottuwa. — feuille archi-16$4- qu'une par 23.000 Rabtants uis | de 


È uvérnement. vient de r | 1 { :l'aët-on fait. mieux ? Que piètre | facilité, comment Île iple ; un Jour Lengir.. gracié. liste et uniGnisle,— ne pas lais- es s\ 
ce reg cmt. EE A pag ea pa ent ere pi qui Pson int out ces ous By al de SN de 

5 à té ÿ de 4 ustrje privée peut avoir | me elles? É + ses ni ions, il n'y aurait pas à leurs errés. es tenir deux : = : 
EE a un manque ve un émet à en en nt ses inconvénients, mais elle est Cette épidémie. de” ER de quoi s ‘étonner. BE ans sous vérrous ne rendra pas! : — 2000 


ipresque toujours’ beaucoup! prouve l'impuissance du pro- lc pays plus riche, #5 : YAL v EUR 
à juger du Ministre de l'instruction publique, à ses actes. Nous br coûteuse que l RU MAD € à faire respecter les ! La résistance Seite | Jeanne d'Arc Re * - # Le ee 187T SE 
-Les radicaux de: Ffance de- À 


F ne qroyons plus qu'aux actes: gelui que vient-de poser ” #OU- |nalionalisée. :: Cette dernière [lois-lés plus élémentaires de la 


ve n'a qu’ à se rappeler, le np ils s'étaient | 
“C'est ‘un exe 
e— ces d' écoles! titre dnsapiage car nous appre-|de fér américains passés so “ble, ajoûte lady. 


à N 
verne purfuilement dans . _—— L'hé itier du inc, le l rince 
“erhement reste : -sa-trudition. l'est trop souvent \ do pe morale t-la_profonde—erreu Grandent l'application en Aleai | He Éroix; de- Paris: sé dit us: | ji Galles, est aujourd'hui l'hé- à 

* Si l'élément français a du coeur, il gardera fidéle mémoire lronage. _— ue le. gouvernement anglais a ce de toutes lesclois sectaires; sure, bien que la nouvelle nef Gé lu ville de Winnipeg. Rs 

de éetté nouvelle preuve de sectarisme et d'étroilésse dé vues. ce jéommise lorsqu'il x réconnu la blént 1 li s|suil pas officielle, que la Cund- 
La rivoste : légalité et la: légitimité ‘du: di- : dui troublént la paix religieuse # x èté triumphalement reçu par. 
ya un temps pour tout; méme quand on est moins fort que | à DE De ami fl a légitunite ‘au oi en France, Si le Vote"et l'appli-|nisation de Jeanne d'Arc est line immense foule à gère ee ë 
d'autres, on peut avoir $on tour quand où sait l'attendre avec Les Américaiñsont-loujuiirs |  H La pa Leger Mo a cation de cesHoïsÿ ont été poésiL | fixée Et g H étirent au jeudi 13! matin. 11 passera, deux: jours 
la détérmination de ne fléchir jamais sur des questions Die très air} us h s'indigner] ee écolo a Fm bles en France, par suite du | mai 1920, f de, l'Ascension. uns lu capitale manitobuine. : 

dé : ; rines-de l'Europe: Qui ne | s de ré “ee : : — 
Lord es st enrnere et mentir à Fhistoire de lout dt es Dh Aa rente phi- les ravages que cause lé ruptu-fratqu de résistance. efficace | Le français en Chine Un long programme de récep-\ 


Fa ef suivie des catholiques, il ne! |tions et’ de téjoulenness a été ; Ù 
carence s à re des liens du mariagé dans lés | ne à 
* Nous he tenons pus à faire de plus amples réflexions,.car | lippiques de la présse américai- ë semble pas qu'ils doive en être! Par suite de la pénétration | éläboré. 


: s|pays où le divorce se propage. . à ; 
hous n'aimons pus à perdre nôtre tèmps. Nous nous devions ne contre lés atrocités” belges ainsi ens Alsace. La résistance économique anglaise en.Chine. ES 


: ® “ceite loi devrait disparaître, 

- d'énregistrer l'acte que vient de poser le Ministre de l'Instruc- pen 8 hr er écrit lu revue américdine | à la- + opt en inc ET, la langue anglaise rai obliga-, Coroner : 
tion publique, et de le prése nler. duns sa brutalité, à la COUSi- | in; nue aux Philippines. [ sem- quelle nous empruntons cette 26 par ‘des écoles CASE verre toire ue e ee \ done MES 
dérution. de ceux qui croiènt eneore que des citoyens qui Purcible que les *bagarres gntre J vernement chinois. Ohr nikon: 
tagent le fardeuu des charges à l'égat des autres, ont le devoir blancs et noirs voñt fournir uus 
de né pus oublier les coups de pieds de ceux dui le ur refusent; Européens ur inépuisable ré- 
d'une manière si persévérante, ce que la plus -étéméntaire jus- |perloiré de riposte. C'est ainsi 
tice leur fait un devoir de concéder. : tique la Croix, de Paris, toujours 

- men —— — - DR Re ve avoir 
———— : rauporlé les ‘dernières bDagar- 
rés: “C'est chose étrange que 

| PROGRAMMES SURCHARGES “ces batailles de races ‘dans le 

pins qui voudrait étre le plus 

avancé dans la CYRRARQN" 


note: : , 

Sou véeu n'est guère prés de 
se réaliser. La loi qui rendait 
assez difficile l'obtention du di- 
vorçge au Canada vient de faire 
placé à un vieux statut anglais 
qui rend très facile l'obtention 
lu, divorce, 


nent déjà un cachet'héroique et tuit du françuis que, swuel-} Le Dr G.-L. Marsolui à 
éomique. un cachet bien fran- :ques-unes et à A A pr Suint-Eustache, : vient ‘étre ; 
çais. quoi ? . ‘'tances locales. L'anglais vient! nommé éoroner ul la PES: 

Le Petit Patriote cite Àe fait: dé.perdre su situation privilé- vince. à 
suivant qui peint -très en }, las ide. bone pr lé français | 
mentalité, des gosses de MAI pourri être choisi comme En. ” coins 
sace: güe européenne principalé pur- | Bépétition )) 

“IL faut, que je vous raconte tout où le directeur de l'école! : 
un épisode: qui vient de ‘se: pas- jugeru su ‘connaissance ‘plus!, { y a dés manche gg ve à 
ser pas loin d'ici, eñtre R.; et utile. | | | à F'Académie Provencher, r 
P- 


Compliments . 
et. commentaires 
_La pgesse un uugluise de Québec 


ne tarit pas d° éloges sur le comp 


.|tition dés choeürs de Marie-Ma- 


On nous avai envoyé tout _Le Japon n n' ignore.‘ 4 < i de del Cho Re 
récemment un instituteur de la | PAS le Vatican Eepss Ier de 101V41e Sal 
te des ouvriers Canadiens-fran-|fihri ique Debierre-iqui. à pei-| Le traité de PS attribué en Lies écile. Re nr 
çais._ M. Georges Pelletier relè-| 5e installé, prit-la fantaisie d'é- mr dabedhos GO DER PU D PAR HO Lu dr) | JR 
ve les suivants qu'il fait suivre! jour le crucifix de l'école. ee ji I EH et M NE ; : 

d'un commentaire äu point. Les-clèves aussitôt l'y repor:4 “AO TRES: Marshall et Mürian-!} 4$SOC1. ATION D'EDUCA-:! ? 

- “On a souvent dit que le iérent, F 

Québec est la meilleure pro-l “Nouvel enlèvement de lu | 
vince du Dominion eù établir 


: t ' LE 
Ve es AY ñ | : 

SN ruiétan a 
: RS { ne dépéche de Québeg aux quotidiensyde Winnipeg an- Br " 


LR nonce d'assez importants chängemients dans les programmes | Les naissances qui se chif- 


ol 


“y scolaires de la vieille province. Comimne il n'est pus permis: - fruient à 73,999 en 1941 dans le 


UE eo à-moins-que Fintérêt net commande, © de recônnaitre ‘les ‘département de. la Se ire mront 
” mérites" de lu province. de Québec, l'auteur de la dépèche l'a été que de 47,160 ei 1918. 


cuisinée de façon à ce Qu'elle apparût surtouticomme la recon- | Le français à Rome PME 
3 naissance par les autorités scolaires de Québec d'une erreur : 


ee ne 


} 
|nes. Or il y avait là des mis-} 
sions catholiques alle sundes | 


TION DES CF. DU | 
MANITOBA :: | 


é dont le sort était laissé en sus- 

À Hidai ; k part du pédagogue. pe 
_dans leurs nier, d'enseignement, dans leur système d'édu-, Dans la Revue Dominicaine ti grande -cutreprise indus-|! An _ port de lu put | PENS: Le gouérnement ja A || DES INSTITUURICESS | 
cétioi. de Fr, Ledue a publié une étude | $,icye. parce que la .muin- nais-u spontanément envoyé à 


des garcons. Tel est le cri d'un: raie | 


En pratique, chez les catholique s dé Tu prbvince de Québec | fort intéressante sur les langues 


d'au i | l'Eg Rome un délégué, le comian- 
LE 

d'administr n dans ise. 

le clergé a da haute main en maticré d'instruction publique. paminialresla 


d'oeuvre y est. abondante et! «1e franc-muçon dvant ulors LE Vu métis pour Pan ts 1 


nombre de commissions | 


| 
| 
4v 
Il 
| 
dun pourparlers { enseignant A dits 4: 


de 
1 
qu'on peut toujours . compter 1 > Me scolaires. Notre personnel | . 
; Voici ce qu'il dit au sujet À 1a . ue LE ils hA #4 | déclaré qu ‘il ne mettrait pus de lle Saint Si pe fun ts 
L'Etat se contente d'y aider le pèrede famille.  Hne:s'v croit: + langue iplomatique” à = " ei { or 2 LA pied à léglise, les élèves ont} &jitifs à cette question. ; | 
ni omnipolent, ni umniscient. Il lnisse.aux spécialistes intel- cp I À LT spect”de HE loi-el de l'ordre décidé de ne plus mettre le pied T0 tetst Pa TES _nais pas insu 
SPA FR ans les relations dipna-let si elle sympathise vec les! l'école. æ Japon, tout payen qu' Nous MOTURL Fou toutes les 
in LT ligents, aux ‘éducateurs de carrière, li solution du problème | fficielles-le français'est à l'école soit, ne croit pas de bonne po-| 
© <-de l'enseignement. :ette attitude logique et intelligente iques officielles le français est ouvriers et'met en vedette les “Résultat: Le trois- potins à ur li Ï \ p institutricés qualifiées qui | 
: de gnem ts. giq 3 e 1 ni _ _. in langue officielle d’ adminis- lettres de la Papauté à ce sujet, filé suos-tumibout-ni trompette.) itique € ignorer le Vatican. l_n'ont pas D noëré, trouvé de | 
veux de nos conciloÿéns des ‘provinces añglaises le déplorable \tralion de la cout. romaine. Sans elle est-contre la violence. Et! if ‘oneques il ne fut, vu durs Révélateur L classes de s'adresser à nous | 
résultat de ne pés battre en brèche Pinfluence de l'Eglise. D'où | aucum-doutees envoyës ponti-| c'est l'artisan canadien-francais l'endroit, Re |} au plus tôt. Nous pour-'| 
ere et Er reondentnnt tont-simphenrent- +-Setforcent-henprelent-dans-tes- diffé tte : : ! | sans. * 
: 'S , Morale? Ténons LINTE ous — 
. de la présenter”sous les dehors d uu régime. d'obscurahtisme, rentes-cours, la Jangue ou les toute l'armature industrielle de sommes résolus de le fuire ‘et|à nous exlasier avant le génie |, laine en peu de 
d'ignorunce. moyennägeuse. A ‘lungues des pe uples auprès des-{ nos grands centres; surtout à nous allons nous organiser pour | d'; que exlsier de’ nos tomMpe ll. Les permis | 
\ De la petite dépêche. savamment cuisinée pour lui donner 4 He ils sont ED SEE ed Montréal.” Et, plus loin, ceci: que, dans toute l'Alsace, les D liriotes anglais. Ikn'est pas ra ci impossibles # obtenir; .en 
L + . l'allure d'une confession d'erreur dé fi pürt dela province de | AS De de Pen sd de l"L'Eglise ne: perd jamais trace | rés et mères de famille signi- de rencontrer des Canadiens- |! conséquence, nous conseil- | 
Québec, il donûle nellement que les adioritét watuites qué- Duran ve pe au des" individus, elle les suit. Les |fje nt leur volonté formelle d'a- frünçais convaincus que l’An-| | lons.aud'inslitutrices doñt 
: besoises s'apprêtent à promener lémondoir dans le pre i- : F n ifa- | Canadiens- franc: ais des grandes | Voir des écoles cohfessionnel- glais seul peut faire un:bon dé; les certificats -sont expirés 
Û £ PI ! al program ! 
L me scolaire de leurs écoles. Là, "comme dans toutés les pro- lien: mais les documient$ offi-| villes sont aftachés à. leur foi. |j5s. ; :puté,un bon ministre. Et pour:  de/Jaire tous les ‘efforts |. 
Me id Ë de vs "€ ë tl cie cs. envoyés. par le Saint-Siè-lEt leur vivd@ité d'esprit, leur | “At sion avait agi cgmine tant 1 rien n'est moins près de! four suivre les cours | 
-....: vinces, en se plaint de la surcharge des progræmimes est: aux Chefs d'Eiat, sont en bilinguisme, le brillant de le us | cela en France!" LL vérité. … La revue. Belgique-}" dagogiques de l'Ecole Nor- 
RES Mai que ‘le mal y est be aucoup moins avancé que dans Les fu uneais, c'est du moins ce quil “intellectuels”. leur excellent ES me 0 Canada publiait- récemment nf | male: Elles en profiteront. | 
fe autres provinces, car on n'a pas dans Québec rejeté ie. vieil semble ressortir des faits et des! naturel, leur bienveillance na- Civilisation américaine petit täbleau qu'il ne ser “pas! | RESF Les 
; ense igneme nt; on s'est conlenté d'y ajouter- st évide ntiltostes Pepe : tive,, tout cela fait des (C'ana- Dubli 6 | 29 LI ._[oiseux de reproduire. Wporte, . L'élection des commis- | 
que v'étüit exagéré. L'expérience l'a démontré: aussi S'en-. ‘Les lettres dé Pie X-à l'em-|diens-français ün élément à ‘Ja | up le orgie, 2 UC au sur. la dette pér:capitd de cha-| | saires d'écoles a'eu lieu. Le | 
presse-ton de revenir. au bon-sensg , : "fereur d'Allemagne, à : F'occa-|fois pitloresqué et important 7. > | vs : ï sien té que province. Québec, provin-! secrétaire de chaque com- | 
dé Pourquoi nos. autorités scolaires n'en : feraient-ciles pas |*ion du 25me anniversaire de [qui donne à l'ensemble de: la ET PM ‘ se Ep À A ce de’ ceux quite s'entendent: mission _scôlaire-nous ren- |: 
:._ auiarit? l'accession’ de : ce. dernier gi urovincée un: caractère qu'on ne su jF +8 I + Fe ai 1e ds guère à Fadniñistration: de la! drait un service inappré- |: 
; De progrannte MOMIE doit condestiinns à ever l'empire furent écrites en fran- {trouve nulle part ailleurs.” Ce- REPE & “NV x ln M PER chose publique, oc ypé le pre- | ciable en nous en faisant 1. 
, ” t:à faire ctéver-le cerveau des enfants c'est üdinis de tous’ 51183 la’Eettre de Léon XIE'aulaest.très bien. . Il reste mal. _. " <a tu he *[mier ra : .… parvenir lé résultat, |" 
tee : . are Ru | se > MINS LR Pa AUS CE OS Président ‘de la: République | heureusement que la Gazette a!|09P€ 1 ne ne Cala All au. Piastres "LE SEC RETAIRE. | 
: : Le rare connu dx, À es en onglemps. n a un jour |frinçaise en 1883, sur Jes droits tardé quelque peu à le procla- Étrerttte noirs 4 e Caldwe pee a 0850 : ES : Mt 
HE essayé d'y porter remède Muis avee Fesprit pratique qui earae- cs catholiques, fut rédigée en | mer. et que’si, par exemple, elle ces  ifenut ef ta vas el ré lombie-Britannique Eu A | ere — Re es 
‘térise nos-gutorilés scokairés'on a, sous prétexte d'émonder le fr; unçais: la Lettre de de S. S.leût proclamé aussi ‘haut, au |SAICaBO QUI PEN A LOOPET ES SK atchewun -… ........ 50. 
programme de ‘nos ‘écoles et de n'y faire entrer que le strict Benoît XV, du ter piai 1917, aux 


temps de la conseription et pen.| dires suivants: “Les noirs ont 
dant l'élection de 1947, les ver-l£té, maltrailés depuis 50/4ns, 
tus du Québec, se scompliments | mais de, rôles RE changer d'i x 
eussent alors paru moins inté- LE à Fe jours A PAS 
ressés. Néanmoins, il faute cadavre-de-Co ÉPHans-res 
prendre les gens. tels qu'ils cendres d’une église “noire” in- 
sont. et surtout de pas se lais-|Cendiée par Je$ blancs. 


ser berner, x | La chasse aux conscrits 


Nouveau-Brunswick 
Nouvelle-Ecosse . :... 
Ontario", 
{Québec ce ie ; 

Qu'il impor Hé! Nos AE PR fi | Nous avons toujours én main = 
teurs iront leur petit bonhom- | livres et brochures dé propa-. … 
me de chemin  répétant que |7ände française, que l'on peut 
nous sommes des arriérés, des !*e procurar toujours à des con- 


PROPAGANDE! _ 


nécessaire, fini par en édifier un plus lourd'que celui qu'on ‘chefs des belligérents, fut pu- 
voulait alléger. bliée en français: ajoutons qu'à 

| die Ù 
Cela se comprend. Aussi longtemps qu'on ne voudra.pas la mort de Pie X.e'est en fran- 
€ rendre à l'élémentüire vérité que le cerveau de l'enfant n'est EE ee LE SRE Fe COTPS Fe 
pas le cerveau d'un universitaire, on iarriverarà rien de bon, L'OMAUQUE acer eue auprès du 
« S S. Siège, un Autrichien, et le 

. Un éérve au d'enfant n'esf capable d'emmagusinei ‘ qu'une cer- 


: “ardinal C'amerlingue échangé- 
ï laine $Somimé d'instruction. Il en vst de son cerveau connne-de ( 8 #& 


rent des paroles de sympathie. ; ve, ù |réfraètaires au ‘progrès. | litions faciles, à notre Comité. 
. : -.. Son estomac. Si vous lui en‘donnéz trop, non se ulément il.en t Ces textes semblent indiquer Selon que vous : À + Or croyait que. la fin de la :  |Voici les titres et prix franco 
séra malade, mais il ue digérera, ,n'ussimilera qné me pas CE que pour la cour roniaine, COM - : i " —… érre serait aussi la fih-de la Un peu de-umière r Ve quelques-uns : 
1 qu'il pourrait normalement digérer ut PRE Un bambin ne pour les autres | cours, le Neres Pr où non. iseneine Chasse aux consçrits. -Nenni! : Le Coût de Tr vie veste élevé. ‘Pour la défense F PAR" NN (à 
ge de dix ans, par exemple, n'u que faire de.s'uéer les méninges fr inçais est reconqu SOS EU CT RTIES IT ROM : Nos gouvernants tiennent à CefToutes les coûteuses s enquêtes Lois Françaises"; Anto- ue 
“sur des sujets qu'il est incupuble de  —. ndre,. de: pénétrer lingue diplomatique." De tous les traitres que les | petit "jeu. Aussi. viennent-ils menées pur le gouvernement | niv -Rerreault .;.:..... Br EE 
et qui ne fui seront d'aucune utilité plus turd:-Ene plus grande | | Épe militaires de France | d'envoyer leurs agents  tenter|n'ont pas guéri le pots dont up, Naissance di 4 ‘ 
erreur, c’est de lobliger, comme on le fit dans -nes. écoles, à Les divorces RS CORRE EN poteau d'exé- | l'aventure dans les lointaines !|souffre le peuple. Ces bons en- | AeenRe une 


“x 
quêteurs-en sônt en somme ve- ce”, Abbé L. Gnoulx.. $ .15 S 
nus à la conclusion: :que “les | Les: Rapaillages”, Abbé | 
membres du trust de la viande! Lionel. Groulx: édition : 
n'étarent pas les coupables. Le! de‘luxnissidscos 2 # .60 
gouvernement américain pe le! . Edition populaire Mur + 25 


croit pas el c'est pourquoi. il| «14 Canada ‘Apostoli ue"; si : 
s'apprête à faire rendre gorge à Herntri Bourassa: édition 


cüution, il n’en était pas de Plus | régiois de. l'Abitibi. Peut-être 
cossu que -Je, millionnaire Le trouveront. ils, que la chasse au 
noir. [ fut Æn des plus igno-| gibier Hümain est ptutôt mou- 
bles ouvriers du défaitisme, de | vementée. Elle est susceptible 
la trabjson intérieure au profit! de leur fournir des ‘émotions 
de #Allemagné. Si -d'autrés|q une nature assez ‘inattendue 
aûvres diables avaient l’exeu-| comme le démontre là dépèche 
$e du'besoin d'argent, de la mi-!suivante : 


éparpiller, ses forces Sur une vingtaine de sujets, au-dessus" de bi Angleterre 

4 "sés aptitudes et hors du champ de ses nécessités. Le résultat Depuis la signature ‘de l'ar-. 
Ù dé ce système c’est que vous obtenez un élève qui u tâté d'un mn: istice, une épidémie de di- 
pétu de ‘tout, Mis dui, pe sait rien biey I u°un badigeontiuge vorces sévit en Angléterre, sur- 

de connuissänees elicyclopédiqués et rien de plus. : © tout dans,les hautesrclasses de 

ÿ lu société, Lés rubriques : ju- 

diciaires dès journaux anglais 


Notes et À = (value dé 2,3 16, 19% sur lu pé-.débordent de ra gt sèrg, lui n'en avait aucune. Fils! “St-Casimir/Port#euf. 29. Er tp sil 2-28 ion populaire : H D 
|riaus correspondante antérieu- divorces: jLadv Be gb de fnilvnnaire millionnaire Quatre officiers de ka police du lont lovalement fait leurs profits}. ilion populaire .....$ 2 18] 
=M à Æ La totalité des recettes bru- un artic ie! au Daily s’ ù Hu: éme, il trahissäit son väys | Dominion sont allés hier soir|quand on nous- démontre que » +chidies qui s'en bont”. 
green” ommentaires ‘e s de per dé pie me tous les Le = méut qu x he: ingrrl du lien; pOur “5 quérie æ Ed illiohs:!à St-Casimir pout arrèter ‘un! Mille piastres placées dans la Frère Gilles, O.F.M.....$. 2% 
. à {sultats antérieurs de ce mois à. ConIuga eue v it une preu- n sait quel role Ia presse JOU4 je » : à u- » V “ | : 
RC HRELE. u PR Les’ frais d'exploitation, durant ve 1 ns lle d Sicude nee: en F ue durant À _—. Or, per oE eg Te. 4 Se NE AEMQUr, A eo ARS Notre, Jeunesse”, Guy Va 
Une entreprise Li - ile mois exuminé par le rapport: “Lé mariage ivderne est'en|cé millionnaire suprentionta | Fa oieds” * es Teen do Mille Sade HSE din Le DE MÉEE Tu isttinrse +10 
se pre Privl que néus' avons ‘sous les'yeux, train dedevenir, ait-elle, un la presse défaitiste et  essäva): “Les quatre homines, après compagnie Swift (v a six-ans, Syndicats Nationaux ou 
“Pour Ha seconde: fois conse-|se sont acérus d'au-delà d'un pur cufitrat de location; après inême, vour, le compte de l'en: lavoir arrêté 1 Lauuerre. s'étaient | valent maintenant 820,000. 7 niternationaux?", Hen-: 
cutive, cette année, les recettes! millior et demi, s'établissant à trois, où six dns . (quelquefois! nemi, de mettre la ‘main sur rendus à l'Hôtel Ténslek. mais! Mille. piastres placées dans la |: ri Bourassa ....... 8.10: 
nettes du Pacifique Canudien! S11.723,649, sôit 79.6%,. contre moins), dès que l'une des par-|quelques-uns_ des: grands jour: des mr À gens du;village, au soérague Morris, il v.u trois “La Déyiortation des Aa- ‘A 
ressortent en auginentütion.’ Les! 82,4% en juillet 1918, diminu< ties. contractantes désire un!naux de Paris. 


| nombre d'environ cinquante, ue}ans. valent maintenant #24:000:1 diens « Henri d'Arles. :# 40° 


« ‘recettes nettes de juillet: se 4o-| tion: qui inaaue que Ja dj éc- changement, le contrat prend |. Devant la justice militairé, |l’entendiré ut pas de.cette fa-1] Mille piastres placées dans la : On trouvera à la päge 9, 1re 


talisent- à #2,996,705, soil uneltion «su faige des éconômies finet foute relation cesse entré l'droite, digide et intransigeante çon. Ils se rendirent à l'Hôtel! compagnie Cudahy, il v a six colonne, une liste coin lète des * 
supérivrité de $826,691. où 38°, | en dépit de Ta marée ñontante propriétaire et locataire. Na-|eomme*un belle ‘épée, Lenoir;tet-réussirent à faire relâcher lelans, valent maintenant #26.000:| brochures, tracts et livres en. 
1 _ de Gares carre pondiut ee a -d'oe uypé el Ex 1e" guère le divorte entrainait une trouvé coupable, été qe A Era Laquetre. rm nuit se : Mille We eo placées dans la vente par.noire Cor! nfté . 
+ année dernière, æes recettes à M : né à mog intervention u | passa, mais ce matin les “spot-compasne son, il v de : 
; rte d'ostracisim xciut, Mais | l y, E] ux 
. brutes, elles, se chiffrent par "Nul douté 4ju'il.en serait out suc dx st jé à w ké président l'arräche.à sa juste [tèrs” furent bien surpris de nel|ans, valent maintenant #7, : 'omité de Propagande 
... 81M4,720,362, faisant ressortir ur autremegt si l'Etat avait? le aujourd'hui ce n'est plus qu'un! Déiné, C'est déplorable, car s'il plus retrouver l'auto qui lés| L'élevage est chose payafit tel! ‘. .* LaVéesñdrye, 
} résultat encore plus ‘brillant,| contrôle: de ce chemin de er: :6v énement mondain comme le Are st une. trahison digne de chà-| avait amenés à St-( asimir. \ Devant de tels chiffres, la lé-! « 39 Avenue Requénsiter, 
puisqu'elles si hi 2g une dits a vationahisätion des chemins Fatrtres:: provoquant qe tee timent; c'est: bien pêble--deper"Les-qmatre-sant: ste .-#fgitimité des profits. s'effondre. quite s De in xs Man. 
" vaataal n : k A" : ; v (ED #: ET 
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La \ rer te 

i ponr ; 
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Fe 


mr et commércia-; de 
E très vive va PO ve à la lut- | lections heureux. vince. Ses‘rivaux du parti 
il, va sn gare vu # ErriE les pr ÿ - se te re ro pod à 
le mieux, par négociations avec! grouper autour de Hi; dent il} puissance - politique quéhec- 
ses voisins, obtenir pour ses in-| peut frayer la voie? Existe-t-il quoise. Essaiert-Pil —"oh!,nom 
dustries te maximum de _pro-|un élément vieux-conservateur;! pas directement, “inais par 
: S . pc me gr tentât de né- tection et, en même temps. FU ue .de a coalition: inionis- l'entremise d° silice. d'occuper 
Ann vénemen ‘il mire E anciens plus, large, accès aux marchés |\€. usséz considérable : et qui ls place vide? Peut-dire. sde 


: ractère unhaire de Ia nou il Le voisins". L'ancien, ge soit disposé à rompre onverte- Li ni Do 2 
h elle cd Q L + de re est tro pratique. . LEA ment it avec M. _ PBorden ?. J * € escomple s que 
:-Fépublique allëmande ue ste \ 4 " cf (A suibre en page 6) 


d'expériéene pour se faire}, , 

ï au b » 
_ une nd centrale lusions aura viole dés qu'iéi Aücun homrhe ut peu en 
pourrie 


Li haines compétitions $eo- | vedette ne: s'bst ouvertement 
-' cle. 


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"à : 
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ie eu tendit à a rupture de l'unité 


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de 14 précision à remgair les brlonnanc es. ° 


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Cette taet a pas été sui-. 
vie. L'Entale ea Arr avec les 
représentants de - l'Allemagne 
unis. Ainsi, n'ont pas manqué 


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ce 


nomiques. =: | affiché, et l'on imagine difficile- 
CR ie ment M. Rogers dans le rôle de 


juences dé . 
Mbific ation progressive peuvent 


 .# 


peser d'un poids trés Jourd|de noter les critiques, a été Mais l'on entend bien que te} chef de parti. Fautät deviner _— n ati rene ms RUE. Fi WONWOOD … - 
* - … — 9 .. hp =" ts L È 7: " "A s . 
: S ur la seconde fois proclamée, le fait est évident, stone rs porte dans l'évaluation tdans la phrase sur les guérres |: NRA, JEVeEr ee: + F_ Totphone Pin 2730 : 


dans la balance, des : destinées 
: . furopéennes. Test atile d'en 
marquer jout de suite la gra- 
‘ - _vité et de’souligner un faît que 
l'on n'hésite point. à à noter en 
Europe, mais qui risque d'être 
masqué par la multitude de dé- 
pêches imprérises où contry- 
dictoires que nous apporte 


+ et goûters. 
_COIN TACHE ET: PROVENCHER | 
# SAINT- BONIFACE, MAN. : 


Versailles même, l'unité al- 
lemiande _ ministre n'a pas l'air de vou- 


Cette unité, dont la dispari- loir s'en défendre — il frappe 
tion des dynasties locales, avait LE _. —- — 3 nr 
d'avance accentué le caractère, |?1ne" unionRe, IL se, pe 
tient d'être resserrée - par laldversaire. résolu de la -politi- 
nouvelle constitution. : Celle-ci, que sanctionnée “par le bros À 
cl paraît-il, conserve Hien.un con- caucus ministériel et qu'appli- 


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clame. & Ve rsuilles, en était’ à la | 


fois Le symbole et Fefficielle 
consécralion. Mais la consti- 
tution de l'empire laissait sub- 
sister dés gouverpements. lo- 
caux doués d'üne 'cértaine for- 
‘":* ce., La Bavière, par exemple, 
Av: it non ! seulement une armée, 


ous noùs chargerons de faire pour 
vous les recherches nécesétires. Nous 

; vous aiderons de nos conseils et nous 
vous dounerons tous les rx jeta 
ments que vous désirez, 


emporte, comme on le voit, la rait acile it oi le ES 
suppression des armées locales. la- violence, TT additionnel 
Elle fortitie de toute façon l'u- tout d'un programme où, com- | L 
nité, le pouvoir central, et l'on| "€ il fallait s'y. alteÿdre d'un e 
a pu dire que le président de homme d'une aussi vaste: expé- 
ta république impériale alle- rience électorale et d’une’aussi 
mände (puisqu'on a conservé médiocre culture intellectiüclle 
la re 1 d'éempire) aurait il y a beaucoup plus de for- 
lus de pouvoirs que jadis Guil- 
aume mA el LE dans sa 


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tions précises. C'est aïnsi, par \ ford È : :  — 

défaite, a su achever le rêve de exemple. qu'il dit: “Notre po- ; 
ses vieux unitaires. litique doit étre assez large el 

C'est le fait, trés considéra:|4s#ez forte pour protéger eff 
ble, qu'exprime et souligné la tacement dla fois notre pro- EE 


b T n 


: : miitique distincte Lés/dynas- 
ties constituaient des centres 
de particülarisme politique, äu- 

“tour ‘desquels, le cas échéant, 

., + Aurait pt prendre corps: uñ 
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| e “Gérant général, C.-B: Neil! t ; 
| Surintendant des sucçursales de l'Ouest: Robert Campbell 


dé moc rates, pour qui tout pou 
voir héréditair x ést une sorte de: 
guenille rou ui les aveugle 
de rage, app … irent avec en- 


tifiée ou-non par l'adjonetion|4griculleurs. Nous devons voir 
des Allemands d'Autriche, la[®ce que nos immenses possi- | 


$ É (Membré du -Baïrçau,de Quéhee) FA si 
- es — 2s agricole HOLFE PEOGERS DOS HA +-— ER RE PMR € 1] nat ke Pr rl vo re AR ASSURANCES... PAC MEET PSE Er AP 
varitiod L NE: M V | | : 
Fe pre pre pu tenter- de Ines C C’ est Le fait qui nguiôte dustriel ét, pacifique, ainsi qüe|] D | 29 EDIFICE ‘CURRY; Ses "de tous genres, INTER 
s'emendre des imluences exté- EE rérivains et de politiques [{S intérêts ouvrters de notre ||] BANQUE ROYALE du: CANA A 44,2 FABNNG. MAIN ARR en a, ÉDIFICE MCGREEVY ue 
fieures., La révolution{ en ba- 1 vays.  L'agricullure est, dans || | Incorporée en 869 : | : PA tn HD 
layant avec les- Hohenzollern|<uropéens. L'existence de ce|}, tire le bus: Goell euiladedér | 7 | ï 7 MONTREAL || real 
rh Pre bloc: -- auquel risquent, en dé- F6. PAU: SORTE : -a LE. CHAMPAGNE nice onde a nr; cv RSR SENENOES 
rois, princes et dues; suppri- es défenses, de sens.-notre base ‘sûre-et-selide | Gaplat auténné ne RRRRGE UE cf EAN à 
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centuait cétte unité à l'heure Le Devoir. 7. & Metropolitan Lite Inoürens Go. | DB. M. F. BENNETT : 
même où la dislocation de l'Au- END A 9 RE A BÉRS ji Mar burelt derrv 4e ne DENTISTE d 
: triche et de la Russie kissait{ BOB ROGERS Révidenéés 186 Dates M sa .(KHôécemment à l'édifice Syndicate) 
- . l'Allemagne en face, non plus! . RE ; s die Soul: 
: de deux Etats: puissants il + F P : É | = ——— —————— 2, FIGE : 
my t F d ge ne Ke Bob Rogers à. l'affiche! es. camion SPÉCIALISTES DES PIEDS. — La|131 RUE-MARION, .. NorwWoob 
- pou“: ment à GCcCasion ni ser Qu° est-ce £ que cela pe ut bie ‘nn si- faiblesse des pieds et trop d'effort sur CR DOCTEUR ins E FRANC A1S 
vir de-contre-poids, mais d'une gnifier ?” 2 se demandera:t-on un 1, d temps, et de Ke À l'are du pied affecte souVent tout l'ar- o D 
ouésière de petits Et 7 vous sapiverez du travai u'te p , | _jganieme nerveuà “Noë légérs supports AT Main 128. 
; te dite de Linea PEN PARtOIA pe matin, en lisant Mrs Si [ faregseurent run conter parfait un Houres_ de bureau: : 
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- les uns avec les autres, Ceux cer à Winnipeg l’ancien minis- ‘Surla fer ‘me, le camion Ford est ce qui sert ; À SR tees LE La AS EU dr ts US 2. set AU pe 
d'entre eux qui croient à lat les Travaux publi b ae ‘ ; : Laborners. PI ot 69/Mitibe Homer- e £ va 
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de ; HSE "| On croyait ‘M. Rogers à pen L d d euner “ ë ù suis, spécinlinte en orthopédies, : “Æ 
; dis 'Formrattré gi € cultivateur eut prendre son déj : 
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ques, eHé”Subira. comme nous se fût définitivement résigné À app A . FR “| BUREAU: 412414 ED. MONTRE | cn 
» £ LAPREGRT PER , S ses moutons WINNIPEG,- MAN. 
le poids des luttes de parti; m: 1is la retraite. Il peut transporter ses cochons, ë À $ | nus. 15 DESCHAMRAULT, S:BONIFAC |. DR. JONCAS_ Fa 
en attendant, elle va devenir! H parnit qu'il n'en est rien et et autres animaux au marché, tout en même so à 
fanatiquement-eéntralisatrice qu'il a empléyé ees-quelques temps que d'enlever du châämp les legumes, ; ' anis ia 2 0 r0Peur Acte 2 SOUS RENE 


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mois à perfectionher ses plans,f les patates et lés pommes. 
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annonce çe matin tout un pro- Le ‘camion Ford’ fait que la, ville: est àla . Tire | DR. E.-J. JARJOUR 
jet de réorganisation dû parti| |‘ perte de cultivateur. : ; Laets |. CHIRURGIEN-DENTISTE , 
conservateur, la constitution La 5 Il résout . ‘le ‘problème de la rareté de st as - 1308 Ed rod Won Sont Loue 


et nationaliste. Elle va pouvoir, 
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nes 1 id: 356 RUE_MAIN, WINNIPEG * re SR RC Er 
tionner bien. Dans toute ma-|d'un comité national avec rami- k 5 vre Ë | : 
ludie le médecin voit d'abord à fic ations d: ins toute S les pr Or 2 _— d’ oeu d h vaux une économie. - ‘ te re (En face ‘de la Banque. de Mamtreal ) Drs mnlonoyr à Konnody 
y ce que les ‘intestins : fonetion- | Yinces et'for mule un Prost in - Les économie de che à \ " A ? ET RE . C'DENTISTES 
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ronciqns. Les Pilules V égéta-| La base de ce programie, … Camion d'une tonne (seulement k châssis) is : (Joseph C al ie an ur “sminee : 
les de fa rmelee sont composées c'est la lutte et le gouvernement : "Monte rier da nous PARLONS FRANCAIS 4 
de telle façon que certains de! des partis. M. Rogers croit que + : \ "MONUMENTS FUNERAIRES RTE Î 
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£ pe fort ressemblant. 
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Fe : à Pas tant que vous croyez. 
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° beaucoup de chic et de dis{raes ménC vette portrait férait Com- 
tion, Ce modèle est (rés prati- ne nat; qu ma Lenime nept ai 
que, care col se relève à vos: "Ps ; 
lonté el est tout à fait douillet: Parfaitement ' 
-pour les joufs froids. |'"Un, mois. après . le : pé mire 
Les, lissus qu nous suggérons aches ait 6 portrait, de, la 
_sont Ja serge Où 13 gabardini AMP. Quel rt MES hé. avait 
avec une soie foulard £ouims ré une foile d'arñignée, 
doublure, Si ést a 


ui ne 


x] pr pour ir aile t “ét lesc ol | 
-ctun tissu sombre pour irirun 


LES VACANCES. Ro) 


à fut temps désirées el'sitèt finies. Le-jour fatal est formation est bien la plus il imp 
cation, car of 


arréoe. Pour tes écoliers, te. ? septembre, ai 


: calendrier; semble être entouré une: oinbre . 
| 4 MadumE °ne Staëf: re prit le de tristesse. 


Avec raison, surtout 
qui laissent le toit: paternel pour dix 
faut dire adieu ani parents bien-aimés: 
faut sacrifier la doucè liberté, reprendre ses 
l'vres et pendant des semaines et des semaines 
il fauT écouter | la voix importune.de la cloche 
qui vient tous les matins troubler, des beaux, 
rêves en tintant: Debout! debout 

À « chaque. lin des vacances, c'est loujours 


ur CeUX : 


4 


“Ma forme st mucite 6 nais- le méme dé “hirement du coeur; la même déso- 


lation. L' enfant s'arräèhe avec peine de celte 
maison où il est si choyé, si gâté, où tout le 
| mgndeé: s' empresse autour de lui, s'étudiant à 


| 
tt féire Dlaisir. En fentränt duns ce couvént 


lou ce collé ‘ge. ilne pense qu'à la servitude mo- 
nolone des jours, il re-croit pus, ün instant, que 
ces hvures-de pension sont les plus heureuses 


Î 

[de sa vie et il se: soumet à. l'inévilable régle 
qu en songeunt au bonheur d'étre affranchi de 
[1° ttude dans-quelques années. 


fre bientôt, el àlors vous regrellerez le 
amp où vous _éliez enfant, où le joug qui 
seéait sur vos épaules étail un joug d' œmour, 

La mère, .en pliaÿ?l le trousseai du collér 
lyrie nou dela pensionnaire: laïsse bien ét “happ® r 


serez 


Li 

$ te. À TR “+ quelques larmes, car c'est un gros sacrifiée de 
EX 2 ete ti anfe élégante. De ul! Les habils-des enfants allant: se DRE de ses ne de vivre. pendant ‘de 

ae ste GE HS pertes ar les jeunés filles ra. - école: doivént êtres “Jébors è 

man CSP ei Re CT IT faut 12 Inais cha s TT Vetements] + 

a 4e » » 1} 
volés de ‘tissu ayant »1 pou- fout laine ratré test 0j ne sont |9n ‘s'inquiète, on S'agi te, or ‘se ait des idées 
; | ces de largeûr. © A bpas: éçonotniques. Ceux #aits!nôires. Cépendant,'te sacrific e'est nécessaire, 
# Ce patron sera envoyé à n'im- de coton et Fine .sont mous lei il vient-un temps où la vie de perisiôn s'im- 


caps ndieus et durent plus. 
Lx laine absorbé fa transpi- 
r ation et ne laisse pas. la peau! 
ise refroulir aussi Facilémen 
que le coton” 
| Les vélements de desgus peu- 
vent varier avec la lempératu- 
re, Les tricots où vêtements tri- 
cotés sont-portés debors étil ne 
faut jamais Jes portér en: .de- 


Re te Ile adresse Sur FÉCep- 
: tion dé 10 sous. 
- Département *’des - patrons, 
West Canada, 619 -uvenue Mo- 
: Dermot, Winnipeg Man: 


MER dre D CNE = 


 PENSEES CHOISIES 


La scie net dé la religion péut 


suppléer à toutes: les 


caladé les”"re vétemi ns de te tré 
et frappaient les trônes épais à 


provisions: de cartouches, 


‘ei à dû: joliment entamer ve 


|pose; les pärents ne petive nt consacrer le té. tps 
inécesairé où n'ont pas les capac A 
[feu enfants. 


, 


Fiées. 4 U n enfant. qui passe e plu:| 
sic surs heures avec des chaussu- 

res humides ou moujllées senti- les ce arot{es, 
[ra bientôt après un malaise gra: } nez au gr 


- Les. voilà lerminées, rés vacantés si long- : 


É: 
ongs mois... : 


Paupres "enfants 
m0 us aspirez € être libres: consolez-vous, vous” 


Lénfant— quelques-Mois icibatré-coëui 


d'instruire : 


‘Faîtes chatfFet 
tez Paignon, les 


Faites cuire 


Tout petit. c'est à la mère qu'incombe tt 
deboir r de » former le coeür delenfant, et celte 


| _ 


coc Gr ni a qu un. : 1 
i passe, Sûps motif, des pres à: l'allégresse, <: 
es rres, de la joie, x la sombre tristesse ; 

Tantét. il veut aimer, tantôt il veut hairt——" 


N 'uvml x see . 
1%. Muis ne Fr qu au ctéts pis-qu “il sonde l'a l'a venir, . art 
» Car Jr lü raison ne parle à sa faiblesse Lie Fe 


LI l 
qu AT ŒUILHÉ veu 22 U 


ne | Qui passe, sais mobf, des dpi à. Fallégresse.. 


5 Heureux d'ün jour d'été : tosc à cueillir 
Qui prendra suns penser a à sé épine. blesse 
‘Puis dans sou rne! hélus!-quand'if fait nuit, épaisse 
Par quétque folte-histoiné, it le, faut-rdérmir, 

Eè coeur n est qu'un dnfantqui ne veut. Den 


8, pas 


anle de T'édü- 


dit qu ‘une persrine de HE 15 | 


pie, a à de ROGHE: 


Le." à z 
= 


; 


———. : SRE - 
intelligence. miais “dont: “on a oublié de former te vous vous : ÊTS nt (7 ee ai tr: mu “Énerda are e dé. charité: à ou 
| coeur est ptnénutile qu’ une pefsonne de coeur Vail et de meilie uréflèuimetr. A ani: RS APTE 0 LA 
rentre que des éléments végé- |. Fe sous ai Juscrit: pour 
taux dans le tonique dirt TE | cent: hiastress :7418 
: éfica de Trier ot Bar 4, . Bigre. Dar. 
be des dr prints olé veut Puits si le’ Ve nd: TS Ve. Ce sont des sens si pau. ; 
transporter dans lätmosphère de l'idéal, sat: Hat Yénéralement PR LE $ 
1: : + 
c'est älors que l'éducation dela mère né suffit à Eh bien! la: Loic fois, - 
bon dans 1es cas, de’eoñvales! {ichez: donc que vos auvtes. 
plus: il faut confier l'énfant à dès maitres -où ‘cence' et tout particulièrement! Diaeil: | . ui : à à ; 
des inaîtresses sûrs el Let capables, à'des person-f{ abrès.les fièvres ‘at. les Fhumres. : —. un-peu plus ric no : ie 
r ++: li à, 
nes qüi consacrent. leur. vie à l'éduealion de! [Joseph Triner Compuny, 14%) eme — SE D: 
r t-Limport dé Û PARYSE |" Qilajinez-vous micu qu on : 
enfance, qui comprenneh wporlancé dé \ 131% avenue Asbland sud Cl ES 2 
Le ASE su u: -voUus bn une as PÉAU ?.— Un 
leurs fanttions.et ne demandent en retour de nu ME LEE Tr [psrapiaie SP. 
leur dévouement’ 2 la soumission et'un peu SAN 
d'amour. f : 2 k + 
D semer mere meurs RES " L 
[al n_abantagé de. la pension est. d'égalité ‘qu | Î i: Fe 
met tous les enfants sous la mé me loi sans di, 
tinclion de noblesse ou de fortune; plus “tard, Ë . U: s Di 
l'enfant sauraitrouver dans ces didisons de col- 
lège oi de couvent des symathies qui lui se-Y FU° Le 
ront bien utiles. ie : 
«Un autre avantage. est-celui de Péulatiait} Les chers: Lx qui cou- | ge 
à l'étude:'car l'enfant n'ayant pas les distrac- ‘lent $: sperent  et:-nui- | @ De 
tions du dehors, étudie plus: sérieuse ment el sat. :Supprinez-lest /De- 
fat des s efforts inouis pour obtenir les premiè- D ivrez  Volre) fraison ‘de.! 
res places. Ù A peste e | : 


ur | 
6 toit. 


- Ne pleure: donc pas, mères qui voyez 
la FE [ois votre enfant. quitter 
paternel pour .le couvent ou le col#e. 
de ux foi 


<dieureux de:retrouper 
grandis en corps el en 
* bonté. 


ine, en science el en 
; we 


GÉRTRUDE. 


2 


… Le ? septepbre 1919. 


$ Salice Chili 

12 g grosses-toma(e s; G'oignons | 
s fin; 1 cuillerée à soupe 
1 cuillerée à soupe de | 


lait/-ajou- 
iettes de pair, 
oeuf, Assaison-lc 
dans 


Sets 


waient es- roux ferons-ensuite, par velti-!Chacuñ déclarait le nombre délit, ses paroles. Une escouade 
cartnpes qui lui re stait et | d'hommes et presque toutes les 
femmes," Parmi lesquelles miss 


mais, aussi loin que la vue pou-|| 
vait s'étendre, on ‘n'apercevait 
pas un ‘être vivant... L'homme |: 


‘oups redoublés de leurs. h: FRE (D L'instectur Dickens: qui Else se mirent Aa. disposition redes endit. 

4 ur MS. SOUS TT TOR “Les craintes du Vétéran 4 da Féommrren dent tes-troupes -durdeh ré 2 gr as mére) D 

des winehesters : crachant * le! police étaient si fondées qu'une |Fort:Pitt, était le fils-du célèbre! projet: proposé. tandis que les!es pérer. À, là tombée de : 
: plomb à pleines me urtrières; la! deini- heure ?. uprés, l'inspeeke ur rominieier-anglais. possesseurs ARE - retouf- juil Hughes. Clamorgän et M 

F * x Dr bia . { % . : ER Le. 

: A TEE pH ù PTS RNA, VAS pe : : . RÉ 2 

Ur k * AT at SE MC re DU ere TE pe TT À GS à "» . ; nf: 
; Û : rip à x __—. Ï ' 
| ; % 5 déEté 


Dans | 


-votre/fille où votré fils! 


LES CUVES ET SEAUX : 
EN, FIBRE INDUREE D'EDDY 


de, péuvent œ qu ils éont d'uné soule pièce, sans 


F4 jodrit t .Wüperméubles, Cepète ” é 
Le Anita 10 ‘ “4 un ne out janrais hossués ou. Ÿ 
| evrnés. 116 conservent longtomnps.lx-éhaleur de l’eau, car ils ne nl 
| … soit pas aussi conducteurs là Ja Chaleur que les seaux en iuétal 1.3 
; 4 He août facil er et ü dépigcer, Ils ‘cofteut aussi moins que * 
| ; plus longtorugra, car Hè sort imoins enclins aux 


péri LE en ee 
Ha l'action de Ja roule. ce f° 
De: mamdez à votre m rchand Îles ébjets en fibre 


indurée d’ Eddy 


| 
| 
l 


| 


autres | dans, car ils ne: donneront pas | ve: I faut changer les:bas et! un vaissfau beurré dans le four gingembre: 1 À cuillerée à soupe | 
sc iénce s; mais aucune science l'y proteétion pain À les chaussures de JL ERN xnt'aus: | M0 ré jusqu'à ce que ce soit d'épices; 1 cuillerée à soupe de ! 
ne peut téñir lieu ‘de celle de la 4 “sitôt qu ‘il séra rentré d "l'école |] ‘n ferme, sucre brun; 1:tasse deginaigre.. 
religion.” El Lés pu FT Rünidi VO pictet bien assécher: ses ie HT 5,71 Re TE …. # z Faites bouillir jusqu'à ce que 
: Nu En LL . | ‘lnetles-cuuses les plus féconde Çisont hulnides: : Pa aux concoinores __ {cela devienne épais. | 
< qués: Step ue red nt Le “ee rtus Pb ER ë ss cpl Tr “ ee id Après la- “el le enfants, lies DE ere ® Il 
‘ ciales oùl plutôt Pa lle! Lol m onto s de: a Fe. pr Kat des | a de vraie nt ‘D: asæ#r he ures de | morceaux. EF ait s une saumi"- IL ‘4 A TOUJOURS UNE! 
été que vaines:, et apparente 2.1. ique EN fr pars ne “plüuste ne à larté ‘à jouer de ref Gardez! re et versez sur-Jés concombres, |: $ CHANCE | 
lorsqu'elles n'avaient-point-es «fo is le coût de cette chaussure LIes.enfants dés la cour, car la | laissez tremper toute une nuil. ‘©: note | : ECON OMISEZ 
premières pour appui. OMR le DÉTATA ANSE ER (rue “est pluie de danger$. L'ep! Lé ma rincez dans leatï{. O ne peut jamais dire k 
Gi 8 ! Er î :, [fant ngdoit.pas jouer «dehoës claire. "Prenez une moitié de quand un homme commencer | 
dos L L'on:ne peut aller. Join daris Re | qu: y sas ait: noir, ss sauf en ét vinaigre pour deux moities à. faire sa-marque et passera au | en n ‘achetant que les alimentsdont ÿ o 
ainitié.si lon n'est pas dispo-!  L'asthmé toute la: nuit. ‘L'enfant | d'eau, jetez sur les concombres premier rang. C’est quelque- | y 
à sé à se pardonner les uns aux! Fous savent<aggmènt les all RE |ét luissez bouillir quelques mi-| fois dans la trentaine, paribas Le vous tirerez le plus de nourriture 
class (Li antres les petits défauts: ques de Fasthine tiennent Jéûür | Sand he: |nutes._ Enlevez les concombres! dans la quarantaine, mais il y. Dans toutes. vos. patisseries em- 
2-40 à victime toute Ta/nuit ExGlée, | RECETTES :s 4e inettéz dans des-jarres. a toujours une possibilité, pour- | | lo Ày la . 4 
(VARIETES. & Lé‘imalin R'inalade sexe ins Pai rer D no hs Mélangez 6 cuillerées à sou-}vu que l'homme soit un‘travail- | P 4 ss re Fr ; 
capable de faire sg lravail et qui aux. carottes | pe de‘inoutarde: 14 tasse dé su-| leur, et ait goût à la'vie. LR" Ée 
: |cepañhdant il doit£e mettre à la! Prenez une tasse et demie  decre; 1 tasse de farine dans assez |lixir Américain de Vin Amer FARINE PURITY e 
‘On connait Poraie ‘il el les [AT _ > On pat s'éviter toute !carallés cuites et pt isSÉS AT ae! de vinaigre blanc pour. faire | de Triner peut être «un remède ! 
EE oh _Préten tions dite UT" fondées, cette SIDE TC TTANQUE epinis, une tésé-ct-denrie--détunre- Sauce épaisse quand ealtrés-utite- dans tr-révélation de in Tope D neraiiraniel Pertils Sour PAS nor. 15161718 
de Madame de Staël. Elle fai-lre Si sÆ6n recourt. prompte-! miettes de bain, une tasse el dé-{sera bouille. Versez sur . les|ces: énergies cachées, Il aide À { EC on g 
sait Un. jéf ape promenadéenlinent af -memède : du docteur! mie de lait, un oeuf bién bäMu, | cornichons. Scellez bien les jar-{l'ongane digestif, ‘stimule les | 
bateau sur:le Lac Lémans-en) Kellodg contre l'asthmeTtütluf oignon haché fin, du sel res et gardez dans un endrot {nerfs etfait dormir de sorte que |, 
Suisse, en } compa, ignie du sui is chabse toutes ces, attiques: .: |du poivre'au goûl. | sombre. quand. vous vous levez lé. matin 
— Te us Hole : ER à RNA PE RER DANS BR à HER DRE À : 
Ms fl Lie © déjoei Brin D Es SEE 2 act br + Gi Re ne br DÉPENS G - Gers r: por Al ES 
: = | Dic kéns.(@4) le faisait de man-{ Dickens l'inscrivait,! impassi- |naie nt seller aux palissades! fille émtendirent qu'on train: itfbe arquement des réfugiés se fit 
|der en compagnie du second{ble, : Les colons & avancérent| £a matinée s'achevä sans quelle radeau à l'aide dé cordes sur | nsuite, sans difficulté 8, d'ail- , 
sergent pour procéder au , re-|enstite. Puis, le’ chef fit rap} rien vint troubler. la solitude de | la pente inchincce di la rien le urs, dans le seul bruit innom- E, 
: : Him ut-diss munilions el destiome nt le total. : la-prairie. On épuisaitles hy-} Vingt-min apré les té [prete et dti de s pas: a eut : 
| ; Nous poësédons ose -pothèses. Les uns épinaient-quénébres étaiént. coupiélerment un em arqueme ne de fan- 
pren ol POLE EHrE Wet, (n “était ap-}ce Le dix ce yrtouches, déclara-t-|les Peaux- Rouges étaient allés venues. Sms tomes, - 5 
“LES ARPENTS DE NEIGE Hrovisionne que pour trente lil ? Voix très haute, Cst-à- piller les fermes abandonnées, L'inspecteur réunit lés re Ta Qui à le dernier colon eut 
4 ‘hommes au plus, et, depuis. la dire à péine de quoi résister à |et les autres, que le -Grand- giés. L'instant éiait wave Aus- quitté | ü or te ferme, un léger 
Par. +veille, il avait fallü préleYer sur|un nouvel assaut comme celui! Ours, chef avisé et admirable-| 5 futiee dans un pr ofond ‘sil éliisement : de chaîne annonça 5 
ce maigre fotal les parts/néécs-|de ce matin. ment renseigné par ses CSpions, | lence que, « LAS, vois ascourdie| HFon larguail les amarres, et, 
} E. Poirier |saires à la nourriture dék retue) Un ‘silénte mortel accueillit était. au courant de la situgtionf; déssin, ‘il “hais: tomber ces! Pré sqque aussitôt, ‘la chaloupe 
gies, hommes, femmes et en-?ces. paroles. Une même ques-|précaire des assiégés et atten- mots: ant ainant Le, lourd. radeau, 
| fe ants. Qu: ant aux muhitions, il tion hantait: tous les esprits; dait Je nioment où la famine lui La minute est vebue.imes sortit de Tax criqué pour gagner 
Eu” était cevtain d'a malgré Pap-!qu'attait-on faire? res livrerait Ya petite garnison! inis, d'où déprrel me Sat MHT Fanilieu le la rivière "EE : 
er ; HÉRE FE RPC TENTE ST point de cartouches apporté par!" Mais l'inspecteur”. Dickens |D’aucuns inclinaïent même: à ou, jotre, perte: «Pet n}£ lait à peine dans le courant 
,. Déjästes soldats de x polices chimeur -qué -déchirait {l'air les colons, elles ne tarderaiént}| était un homme dé décision et penser avec Dickens que l’as-| ei: lestsotdmt astqu'une horrible clamcur, » qui 
etaient à leur postèsaux Meur brüsque me nt "s'étergnit, et, guère à S'6 puiser pour peû que | de ressources. i saut du matin avait eu surtout nreritendez ont st rt pe [ra avonihe-Uhédane-froide 
J - Re réfugies irnies + cs #4 ot M rt “| [les po “4 | 7 RTE ire LL Après un court instant de ré- Épur put os dintinue A 2 oi 4 dans la chatoupe SRREX ut 1er | if sr ne dé chacun: des fugi- à 
dede étaient Bite à Dec Flers HER ne EUR | curs téntafives contre le for hexion, il reprit: Mitions des défenseurs du”fort.| ra le radeau ot vorrs not isftien- {ifs, s'éleva aux abords du fort: ; 
RAC: PURES: at 1e UE ds n 4 e 1; ee Orsan, SÉ Que ‘Jques instants : après, — Je crais qu ‘il ne nous reste L'aprèssmidi s'écoula comme | drez.… Vous vous ecmbarquerez Les vofla! crièrent des ‘ 
ce qui portail nHUCS ua - tant aloës "approche "dc Fén- inspeet ‘ur re paraissait avec plus: mes ämis, qu'un parti à la matinée, sans incident. sans h \te, sahs trouble-et avec|voix. dé femmes. {« frorisées, 
Ù en lé nombre des RS RES OU Leinte, entrevit dans une bru-!ses sergents-sur le séuil d'un/envisager: celui d'évacuer ke| Peu après le coucher du.s0-| ordre; il y à plocg pour lous. | Nous sonumes perduët- | 
ort rer me. di pot vdre des oMbres qui.| de S ni igasinis du poste : poste. Nous avons une chalou-|leit, Hughes Clamearg: an, ayant{ Et maintenant, du sano-froid ct Qu ique s-unes s'évanouirent | 
Crete “Bientôt.on perçut le CC Es ES RS TE RT - Gentlemen, : annonga-t-il pe amarrée derrière le fort,| gagné le chantier où né reten-!'plus üne parole! däns les bras de leurs maris, 
> a d'une grèle deballes s'é- se ER ee à {d'une voix forté, il résulte: /dufdans une crique de la rivière, |tissaient plus : les Jraches” desl'""Précédés di uite hommes |Des enfantsse mirent à ple urer. 
_— crasant res pieux de # Épuiinsés…. Le ul pal Ten: nt “que nous _ venons! Elle == trop pe tite pour vonte- travailleurs, apprit de sa fillet de Hæpodice, lé: nsiés wagiié- Silence! commanda Die- 
TÉOTATONS | élataient au Toïn. Eÿ GET Se vo Toi | d’ pét qu'il nous reste juste! nir lout le moide, il l'est vrai. que Je radeau était pré. Onfrent là ériquescroudec dorriore Kent: Les Indiens ne ous ont - 
Feu! crig Le us du) d'elle un jeune hommes vOTà | un jour et demi de vivrés. Mais ne pourrions-nous -. pas|attendait seulement que le jour|ke#ort. Flsie. Clapnorgan se te-| pus ericore aperçus. AU right! 
police. de là beso0gfe" Groprement fai- En jour et de dau voué. “dronstruire un radéaü qu'elle re-|eût baissé pour le- mettre àf nait taut:pres d n père, Dlus On entendait par moments, 
Pendant pres de dix minutes, te On ne soil plus.un sgut de tes? orquerait” Nous avous'ici des |l'eau. *" Jémpréssionnée qu'elle ne le fut{quand les cris diminuaient d'in-. 
l'enceinte: fut emplié d'un rue Le TRAME Se | Parfaite ment. U n jour et/haches, du bois, des cordes, tout} Cependant, le froid des sairs jamais dans.-sg vie. L'imini-{[jensité, de ‘grands coups sourds 
lement üssourdis nie bide FER-OCRIPES , ; demi en réduisant les rations.: lee qu'il faut pour'cela. Quant à {d'avril canadiens commençait à | mence du d: inger, le caline se et des craquements secs, 1 
: .mée.. Mais, peu pl pet, ané k à- Ju: squa ce qu ‘is revien-) Maintenant, continua-t-il, nous!la bonne volonté, elle ne fera!se faire durement sentir. Sur |biant ! à pléin d'ernbñeches, l'a" Evidemme nt, les Peaux-Rou- 4 
meur s'élevazs grahdit ot: ae ne nt ‘plus. nombreux qu ‘aupa- |allons procéder au ‘dénombre-l défaut à personné, je pense. il l'ordre du commändant, un sol-|tivité muette des sûk aie: “tout {ges brisaient à _coùps, de hache 
na: bientôt le Druit de Ta FUSil-rEVant, gnroümrt répliqua un ment des munitiéns… Que tous|y4wa de nos vies, Que les non-| dat. gagna avec une échelle le!se mélait pour. doi: ner à 'cel{c ES palissades; Cela 15 quel- : 
GCRE lade.. e etant d ve “a mi sergeni de la, poliée LCR. -s'Hetieé POssesse ur, de , cartôuc hes! combattants se Jnettent à l'oeu- | toit d'une des bätisses et inspec;| scène noctire un euriclere.ex-|ques-miriutes, au bout desquel- * 
é ‘4.Neu de hurlements  horribles ? s'abprochent. , " ment lés environs. traordinaire bent troublant. les une Juetré inter (2 FA 
+ :. les t8sicéés entendirént un Mas: ous done: " Lun ouvel as: ad 7 “hôommes de la, gar- le habee dé salut. i Déjà, le crépuscule * cormmer-! Prés dela coque sonne de he menca : #” Rosa ” PA 
me aumln qui ts tes: padisurr2e-hé- vais pus trop ecinmehtlnison passérent} premicrs rs: Une salve de-hourras POSTE eait- à-embrumer, Ja - prairie, |ehaloupe, on “du vhait- Larf-et sm Aht voilà qu ils mettent le 
- ‘des € Ass: ALES 


lat le radedu, ‘L'instunt était fe aù foft! s'étria 


miss Cia- 


solennel, Un tourd silence di an-fhiorgan en Serrant'éonvulsive- , 

oisse étreigr: aif”] :_ foule. im: linent là main. de son pére, 

mobile. +? x Une flamme vaciilante et fu-i 
MEL) NI LEE ét (LAMLLET MAL Le Ch LE rene re terne -prrs; ereffet-à 

a | Fomines dé Ha grrnison Monts. s'élever, et; ültisée par les ins “ 
rent à bord les premiers. L'èm: (e cidiaires, elle monta, et sc pro- : 

A Late A] 
ea 2 APN LES TE 
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Lis sdééadents. ill es nb bons nes dites SE de # ” A LL LE 
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PE. 5 Mr hd dt Re LA FIERE" 


es 


à 


. coudée 


me ils crôissent: 


, 


& poin : 


1C here hez doûe et 


- sonnent point, 


- Jourdhui, et 


“y urrail-il Vous oùblier,. 
mes dé peu dé Toi SOVEZ donc 


., faiteur et thaumatürge, 


Pa | 
2 ave dimanche après a 


me 


($; ie. vi 24-12 : 
! ) En €ë temps-là, Jésus it: “à 
ses dec #ciples: Personne ne peut 
déux maîtres! car sl ai- 
Tan. il hatea l'autre: et.s'il | 


respecte l'un, il méprisén lau-! 
tre. 


Vous ne pouvez . sérwär 
es. el Faraent nt. {est pour- 
k e vous. ei vous in- 
Due : hi du Le uerriiure né- 
 cessaire à la vie, ni des vête- 
ments qui doivent couvrir vè- 
fre corps. la vie-n'est-elle pas 


plus que dx nourriture, et le 
plus que--te 


“fils ne sément point, ils ne mois- 
ils. n° amasse nt 
rien dans dés greniers; ve be n- 
“dant votre. Pére céleste les 
nourrit. Ve . valez-vous pas 
beaucoup plus que les oiseatix 
. du ciel”? Pa qu d'entre vous 
. peut, avec Jous ses'soins, ajou- 
ter à sa taflle la hauteur d'une 

Et pour_le, vêteme nt, 

de quoi vous Inquiétez-vous ? 

Voyez le$ lis des champs com- 
ils ne-travail- | 
lent point, ils ne filent point: 

eependant.je -vous-déclare-que 

Salomon lui-même, dans toute 
‘sa magnificence, n'a jamais été 
qu . » |? .d'e Si ‘ 


Dieu a soin de vêlir ainsi une 
“herbe des champs, qui ét au-! 
u'on Jjettera de: | 
feu, comment 

hom- 


main dans le 


sans inquiétude, et. né 
Que__mang 
que boirons-nous? où. de 
nous, vétirons-nous ?- Ce 
là les soins qui oceupént 
aiens; muis pour vous, 
ère connait tous vos besoins. 


tout _Je 


dites 


quoi 


dre où de magnifiq 
ua 

gnent de la divinté de Celui 
Tqui « annoncé &és, choses 


RAC leur jaccomplissemen nt: est visi- 
ble. : 


ces 


vétement? 
Considérez Les oiseaux du ‘cie | 


sont FTôütre Sénat, 
lesine vous laissons que vos tem- 
mon | ples. * 


ou de grandes ruines. 
unes et les autres témoi-? chevz 


Ces: grandes" institutions 


JE 

prophéties dé Jésus-Christ. 
Il a dit qu'il était Dieu, il a 

fémdé urie religion. divine 


Les prophéties sont le signe 


de cette divinité. Un prophète 
ne peut ‘mentir, Si.ses- Fo 
lies se sont, ré ralisées: it di 
vrai FEES 

Le Ghrist est dore Diéu: esa 
religion est divine, 

L = ‘Grandes faithations : 


ni Eglise “catholique 


Quand Jésus était sur le point 
de remonter vers son Pé ‘re, il 
dit à ses apôtres: 

“Les peuples viendront -d'O- 
riéntet d'Occident ;s'asseoir au 
banquet du royauine de Dieu, 
Mon Evangilé ‘sera préché par 
toute la terre. Allez, ense ignez 
toutes les nations, Quand: j'au- 
rai vlé élevé de terre, PRET 
Louit à moë. 

Cela s'est-il accom li? 

Ouvrez les veux. Et. ce que 
lEglse-catholique n'ést-pars rés 
baudue dans le monde entier 
b euples s Ci Orient, pe uple s d'OUc- 
, Pi , ; (l 


contrées connaissent Jésus: 
Cbrist. 
A la fin du ie siécle, Fer- 


tullic nn s'éerihit. fiérement: 
“Nous né somines qué d'hier, ct 
nos repiplis ne dei. VOS VIE 
les, vos ilés,-vos: chüteatix, VOS 
fucs, vos Carnps, vos (ri- 
vos décuriess- vos” palais, 
voire forum; nous 


bus. 


Si nous. notis : SCpurions 
de vous.-ee°serhit-vous punir, 
Vous. seriez époivantés" des a 
solitude quiise ferait autour de 


et foutes ces € hone $ Vous se Un vous, du silence profond ét de 


données par surcroît, 
er ——— 


LES PROPHETIES DE 
JESUS CHRIST | 
TEA Fais - sp | 
La Terre Sainte 
A chaque pas, sur la ferre de 
Palestine, ‘on: rencontre ‘des 
souvenirs du Sauveur- 
que pas, on croit ente nd ses 
paroles. : L 
I ne fut pas seule nintt bien- |! 
il fut! 
prophètes 
Et, 
vangile a conservées; viennent, 
après vingt siècles, corréspon- | 


et sans danger; pe cause jaucune 
douleur, et peut Être appliqué 


S YEUX a l'enfant conune à |'adulte, 


Muriné SL prearé paf des Médicins, Ce Renbède est 

en vente chez les Droôguistes en ‘Canada. Ecrivez à la 

Murine Co.. 9 E. OhioSt.. Ch Rage. 4.5: A. pour 
entire sur les Yeux, aratuit. 


me ca Abe 

agea de telle sorte qu'en un 
instant elle eut poussé sa lueur 
rougeàätre jusque sur les eaux. 


La chalouwpe et le radeau qui 
= s'éloignaient lentement ne Ro 


Vaient désormais espérer d' 


-chappér à cà cercle-de lumicre 


Z 


C2 


nn 


Quelques colons armes l'imite- 


_uné dizaine de 


agrandi sans cesse. Bientôt, 6n 
efet, ils supparurent, lourds ‘de | 
leur cargaison humäine,, dans 
üne clarté soudaine ét sinistre, 
sur une.rivière qui.se mbl it de 


feu. 
Un redoublement de vpcifé: 
rations annonça : aux fugitifs 


qu “ils étarc int découverts ! 

- A vos fusils! cria Die kéns. 
‘Et survcillez les rives! 

Le conseil était bon...Deux 
minutes ne s'étaient pas écou- 
lées que des craÿguuments secs 
crépitaient-le long dés ‘berges 


_On_entendit siffler les: balles. 


Un homme, : non “loin dé 


Hughes. Clamorgan, ‘s'e Horte: l 


en vomissant le sang.: Fo 
Le farmer, qui ténail sa Caru- 

bine prèle, riposta, Ce fut com- 

me le signal de la déféise 


rent: Sur la chi iluupé, un s6- 
rie de 4€ lonations éclatu, Muis: 
les fugitifs n'apercevaient : de 


l'ennemi que des ombres agi- 
les, habiles à se masquer. der- 
rière les troncs, les buissons des 
rives... La lente masse noire qui 
glissait au fil de l'eau était, tu 
‘contraire, an but facile peur 
les balles indiennes; chaque 
<oup, presque, portai. Déjà, | 
morts ou,: \e |: 
bléssés jonchaiént le, radeau, 
‘ la fusillade redloubl: dit sur. k | 


Î 


4L" affa imên nt gagnait, l chaque 


aux prédictions que VE “4 


h ant suns cesse 


ta lu main. et cé contaét ‘loi 
laiSsu. une. légére sensation 
d'humidité. : Elle regarda :au- 
tour d'eMe; sur fes rives. qué 


la‘stupeur de lusvers;-comme | 
frappés de mort päfnotre: ab. 
sence, 
commander.” 

Aprés-vingt siècles, Ta qués- 
tion vitale autour de. laquelle 


| s'agitent tous les-hommes. €est 
[la question catholique; 


Jésus- 


et. 
andes ruines sont là preû = 


ues insiftu: 


LL 


| 


| 


| 


| 


ant ans pres cachôts, sur. 


ass. les brasiers des miflions 
de chrétiens, 


seurs. Les tfônes ont croulé, les 


érrc el ses successeurs, 


ets, dans lés arènes. et 


dévastant, ‘brû- 
‘am, perséeutant 


lanit,” saceage 


par des lois scélérates, s'écriant | 


avée - Voltaire: : “Ecrasons ; 
fämel” — 
re vit toujour roy ses. gout 
nations ont disparu. pour faire 
place. à d'autres peuples, _ 


Césars dorment ans là pous- 
sière des voies romaines.” 


ersécuteurs et les tyrans ont Depuis sept ans et plus, untde loin, sur la sainte :monta- 
aissé | L'LnDE ur nom dans! homme du peupl:, J'sus, fils! gne, apparaissait le sanctuaire 
l'histoi 27: [d'Ananias,°ne ceisait de. par-! dominant de plus de 100 cou- 


Etle Pape demeure, conti-|'eourir les rues de la ville en 
muant de dicier des-lois à ses{criant: “Malheur à Jérusalem! 


sujets de FEglise catholique. 
- I est pierre, € 
pu 


C'est Faccomplisse- 


cbranler. 


ment manif ste de la, prophétie | tout à coup: 
et les puissances de l'enfer n€ 


prévaudront pas contre elle. 
Est-il nécessaire: d'être  sa- 
vaut po ur constater que la ipré- 

diétion s'est réalisée ? s: 

En plein XINme siècle, siècle 
de. rationalisme: et de” révolte, 
jamais l'influence de la .papau- 
té n'a été plus grande. 

Nul ra été pe rséoüté comme 
Pie IX. Nul nu éu de. gloire 
comme le grand Pape: ‘ 
- ‘Le Concile du Vatican, ‘en 
11869, a proclamé l'infailhbilité 

Souverain, Pontile ‘ensei- 
comme Pape, er calhe. 


giant 
dra : 
":Nul D Ron na d'ensei- 
gnements que: Léon XI, ‘nul 
ati défini: des-drois-du 
cunital et travail, + 

Nub n'a-fait preuve “une si 
grinde foréc morale que Be- 
pit XV, glorieusenient régnant. 

est captif au Vatican, ruis 
6n écoute:sa voix, 
devant sCs conse is, 


Ses. efinemis eux-mémes sont 
contraints au re spéet et à Fad- 
miration. ‘. F LAS ’ 

Voici -deux soixante 
fois ‘que, aiarlyre 


cent, 
depuis de 


vous cherchériez_à qui] de saint Pierre, lg Tu'es Petrus| écrasée par le souvenir 
tit PASS 


commé un nant) 
d'un Pape à un autre Pape: 
La prophétie. à aujourd'huj 


Christ, c'est ke gr and mont. Son! sur cette pierre je bâtirai moy 


oeuvre prédité'et réalisée, 


vations, vañle comme le monde | 
la conso: | 


ét durable jusqu’à 
mation des. siècles. 


La pierre f ntdiittates 


le-thrist dit à: Si-| 
: Tu es Pierre, et-suf' 
je bätiräi Inon 


Uh jour, 
timonu-Pie rre 
celle pièr re, 


Eglise, et les puissances dv l'èn-| 


\Jer ne prévaudront pas contre 


URINE. | Pour. Les Pau supières | elle. Et Pierre, chef des apô- 
Granulées; nés 
Grandes Mme | tres vint à Rome. Sur lui, ii 
et le Vent, Murine est efficace Foc nété spir itue He. re pose coni- 


He une difice sur-tun fondement. 


LEt les nations frémireni, s'agi- 
luttant contre 
l'Eglise « 


minuie davantage, les’ femmes 
et les enfants. Onles avait fait 
coucher, mais plüsie urs, pris de 
pantque, Hevaient comme 
pour fuir. _Les uns poussaient 
des cris de (erreur: les, autres 
sanglotaic ut à pleine poitrine: 
coup sur coups pres de miss 
Clamorgan qui 4vaÿlbrivément 
inutilement brûlé les six care 
fouches de son ‘revolver. plus 
sieurs hommes s'efondrerent. 
De {émps en. temps, un gros 
bruit mouillé annonçait qu'ürr 
eu ps venait dé lombés ? x Tea 

Lai démorälisation. s'enipi ârait 
dés colons, dort: tes munitions 
,S'épuisaient éLqui Voyaent-au- 
tout ‘d'eux leurs COMPTENONS, 
leurs femmes "et leùrs enfants: 
fauchés pur Les projectiles. Sois 
leurs pieds mal assurés: ls sen 
taient Le radeau tout visquetx 
de Sang répandu. Hs comipri- 
rénlqu'its étaient pe rdus:.. 


sv 


À ge moments miss Clamor- 
sun, debout ‘au milicu dos-ca- 
davres, éprouva gui pÜtii choc 


auront: vivement, el y pors 


ravail à chaque instänt l'éclair 
; mr * : , . 
Œups.de feu, sautillaient 
des ombri $ bizarres: à droite, à 
gauche, 
«dus, 
Suicnt, 


pi W tout des morts éten- 
qui ‘gémis- 
à deux''pas d'elle, son 
pè re Jui- même, un fusil fumant} 

ri coscillait. Alors. 
d uv. { étourdisse ménl 
cle se nue ju, Gr aussi 
Jai Ë £ Ré 


des blessés 


pri- 
F4 ‘ ? © 
sc subit, 


” 
CR. 


c'ést| Eglise, 
- A chi i-| son Eglise étendue à toutes les] 


| 


l 


| 
| 


de 


les: 


Les signes de la vengeancé divine. 


c'est le roc qu ‘an [le siège fut commencé, il criait 
cure force hümiaine na 


on s'incline! 


pierre.” Œuc, 
Quarante. ns 


es rap F Ja 
etre. 


‘de dirt M 
leries. Elle reposait sur: 
niurailles de ‘Salomon, compo-. 
sées de blecs énormes dont ‘on 
ë encère. aujourd'hui | -quel- 

s reste: 3 
. Le Saint des saints présentait 
üné façade haute et large de 
100 coudées, construite en mar- 
bre blanc et revêtue zen partie 
‘de plaques d'or. 

“Au lever ‘du: soleil, lorsque 


ofihe, Shlciés 
Pr 
détails. : 


If reconnait cnvertement: les 


juif, eh. + 
le ‘récit « dans -tosrers 


gs de haut les ‘deux ‘rangées 
de portiques.qui formaient sa 
double enceinte, quand le jour 
versait ses premiers feux sur 
cotte façade d'or et de marbre 
blane, quand seintillaient ces 
mille aiguilles dorées qui sur- 
montätent le toit et le préser- 
väient, dit-on, de. la foudre ilfs 


Malheur au temple!" Lorsque 
encore :/“Malhetür à la ville! 
Malheur au peuple!" 11 ajouta 
“Malheur à moi!” 
ÆEt:une pierre; lancée du. de- 
hors par une machine de guer- 


re, vint luidonner la mort. !semiblait, dit:Joséphe, que ce 
Quand Titus vint mettre. le[füt une montagne de neige: s'il- 
siège devañt Jérusalem, 1,200,- luminant peu:à peu et s'emm- 


brasant aux feux rougeàtres 
du matin, L'ovil était, éblouïi. 
Fame surprise, la piété éveil< 
léc: kpaien tnéme se proster- 
nait" (De, € hampagny, JSRTe 
et-la Judée.) ne 

Or, le temple fut brûlé conp- 
me a ville au sipge ‘dont noûs 


000 juifs sY Claient renfermés. 
Ne pouy: ani forcer les remparts 
de lu.ville, ce prince résolut de 
Ja réduire par la fanrine; il 
l'entoura tout entière d'un mur 
eleve: kng-de 54 stades. C'était 
l'accomplissement. de la pro-{f 
phétie: “TS l’enférmeront et te 


“ 


de it: algré de la défense de Titus, 
‘nr par une-impulsion divine, 
dit Joséphe, jeta dans Lx sajle 


‘Titus prit la ville par la fa- 
mine. Horribles sont les détails |” 
iransrnis par l'mstoire. Des 
mères dé vorérent leurs prôpres attenante àu sanctuaire un ban-|; 
enfants. 1:100,000 juifs: péri- | don cnflammé. Tout fut con- 
-7:000- Farent rent eom DUT Hummes ou pi 
ie esc ‘ane Ssgt dispe rsés! MEN M 2 LL les soldi us romains, 
La prédiction s'est-e le nest C'étaiti-uvec lacconiplisse- 
€ omplie? Fe 22 Fiment de la prophétie « du-Chris 
‘Allez le demander à Héruga-| la réalisation:de la prophétie 
lem, aujourd'hui déshonorée de Daniel: 
‘par la domination, müsulmane,| “Après soirantc-deux. semai- 
à Jé rusalkenr-vaste ruine dont{nes, le Christ sera mis & mort, 
l'aspect mélancolique navge lej Un. pe uple avec-son chef qui 
Coeûr. des pèle rins. Allez jé de- doit venir dé ‘truir a la. ville et 


dé la güerre, ce Sera la désola- 
tous les peuples, et doublement tion. ‘Les hosties et les sacrifi-| 
d'undces seront abolis. L'aboñrina- 
crime inoubli: ble et par le Far- lion de la désolation sera dans 
deau dé ses vi aines espérance es. 


le temple, elle a désolation dure- 
Allez-té demander à la colline |ra jüsqu'à la. consommation el 


une réalisation phis -manifes dévastée où s'élevait jadis Je jusqu ‘a Ja lin. t FANS 
je Tu és Piérre,.… ettplus begu ct Je plus saint. des - is de : 
Que sale PRES {temples, et où l'on ne découvre Les - essais Julien : 

et les -portes de l'enfer plus aujourd'hui que la terre l’Apostat ‘| 
ne_prévaudront pas contre elle, [nue et aride.” (RP. Monsabré) | © 1 impiété a voulu faire men- 
 f—-Grandei-rainee**" | Le iiie du mple de (iiie aie. 1 potes 
La ruine de Jérusalem Fr. - Jérusalem me l'empereur Julien l'Apostat en- 
Peu de jours LVARE ES Pas-l. Avec da villé, le temple de- treprit de reconstruire le tem- 


sion, Jésus revenaif à Jérusa- 
Ag à Javue de 1 
"panframa sé dérouhait à 
| pieds, il pleura et dit: © 

“Ah! si tu reconnaissais au 
moins'en ce jour qui Cest enco- 
re donnés ce qui peut te procu- 
rer la paix!-mais : maintenant 
‘tout cela est caché à tes yeux. 
Bientôt-viegdront-es jours ot 
Îte ee ennemis l'e nvironneront dé 
nchées 


ses 


0 


: IV 
De C harybdé en Sc ylla 

Uhe sensation de fraicheur 
rappela miss ete à la! 
vice. EST —— NORME APRES 

Elle remua un peu la 
puis ouvrit de grands à Veux va- 
gues dans ls clarté encore in- 
décise: de Paube. "Peu à pe u, 
ses regards S'animérent jusqu'à 
briller du plus vif éclat : lors- 
qu'elle eut reconnu-son pere as- 
sis auprès d'elle. Un étranger 


se te nait à ses côtes. 
rs OMIME nt vous. sentez- 
vous, Elsié? demanda le : fer- 


mier aveé son flegme habttuel 

Elle répondit simplément : 

Bien; 

Mais, aussitôt, elle's inquiéta : 
Où_sommes-nous? Le ra- 

les. Fndiens., L 
H n'est plus question d& 
cela, Elsie. Nous sommes hors 
danger: * 
Puis, se tournant VEF$ Son 
Voisin, il ajouta: 

\ Effrest ce gentlentar qui 
nous à sauvés. 4 

Elle. jéta. un coup ‘d'oéil sur! 
ke personnage qu'on lui présen- 
tait. C'était-un grand garçon 
d'une viagtaine-d'années, brun 
comme ui, Mexicain, dont il 
avait le type fin et l'air aristo- 
cratique, bien’ qu'il portät la! 
blouse én. peau tannée  êt les | 
antidons de cuir, ornés de ras- 


dehu.. 
1 


Ouest. 


: Miss. PRE MR se 
sûr un coude ‘et tendit sa main 


méme iustaut, elle :saner- fu 
ç ut que de: fe rmier avait un by as 


« CR 


à cité dont le! . 


&ils l'enfermeront, te |construction splendide, à-dou-!flétrir Ve pe réur. 
‘atholique > martyrisant pre sseront de toutes parts, ilstér ble ence inte; le. parvis des Jurs téemporain de, Pévené ment. 


Jen écharpe. 


iôté, Îa sa tête cet séntit le mouchoir 


sades, des trappeurs du as 
souleva | seulement autou# de lui régnait 


un peu longue; mais blanche, !sä tête un peu douloureuse et 


l au jeune homme. brun. 
alt 


vait être détruit: pie ; Û 


‘Un jour, le Seigneur entrait| --Mais le cicl lui-même mit à 
dans le temple: Maitre, lui di- néant ses tentatives misérables.! 
rent.les apôtres, ‘voyez donc. Nous emprüuntons le récit d'a- 


quelles. pierres, ‘quelle Struc tu-\ bord aux auteurs paie ns, moins. 
re magnifique? i -: - .J|suspects. de partialite,. 

Jésus leur répondit: Dé ces ha récit d'Ammien 
constructions, {ne restera pas | lin: Le 
piérré sur pierre, laut serd''dé- 


C'était un ami, dinitate ur ét 
+rnit Metthse ON AUS 0 PES courtisan-de-Hulien: né pau- 


|. Le temple était, en effet, une! fait donc rien ‘inventer pour 
I était con-| 
: et: 


| L ï “& lo x 
mander aux restes mutilés Œu- le ‘sanctuaire, et; après le feu 
ne nation mise à-Findex par 

j 


Marce 1- 


te de sa situation. - Peæ-à peu 
cependarit, ses idées devinrent |. 
plus nettes; il ape rcut,um honr- 
meéraécroupi non loin” de lui; 


: Oh! ce n'est rieri, Une pe- 
tite écorchure à mon bras com- 
mie vous à votre front. = 
| Elle porta vivement la main 


ge d'abord, mais l'autre, en peu 
de mots, l'avait rassuré, 

Et depuis eëé témps, ache- 
vait Hughes Clamorgan, nous 
nous sommes surtout 
de vous, Elsie. En série que. j'i- 


encore humide qu'on-y. avait 
fixé. RE 

Ah! ct vrai, fil-elle, je 
pe mé souvénais plus... C'est, 
en vérité, merveilleux que nous 
soyons encore en vies Mais, que 


à 


FR 


il 7 4 
l'avait pris pour un I ’au-Rou-| ves-rrre 


oc cupés: bles, 


ghore-encore*somment-ce gaf-| ment alezane, 


ge bien "Latest 
ti était Puierr; dote, peu fa- 
. | vorabile ‘aux intéré ts chrétiens : 


Cu en neréür, divil cathes 
prit, pour étenfiser-h gloire de 
sen règne, de rebâtir à grands 
frais le fameux temple de Jéru: 
sulem, détruit par-Vespasien el 


efforts pour-ki-mener à bonue!un violent tremblement de, terre, 
fin, d'effroyables tourbillons de: obligérént de quitter 


flammes sortirent- des endroi 
contigus aux fondements: ri 
lèrent les ouvriers, et, 
éruptions répétées, leur rendi® 
rent la place inaccessible; enfin; 


cel élément: pérsistant toujours feu sorti des fondements | 
avec une espèce d'opiniätreté à | |lemrple 


repousser les ouvriers, 
a 6 d'abandonner Fentrepri-! 
(Ammien Marc € ‘Min, = © 
ler)” 


“ 


Le téinoign ge de: fun lui-| 
même. 


“Plusieurs, parmi es: Juifs $ 
nous ont reproché tous les dé- 
sastres (qui nous-— et) ; 
mais que direwt-ils eux-mêmes | 
de leur propre temple enseve li! 
deux fois sous ses ruines 


lé! l'oeutre-et portaiemt: des: dé- 


Titus, après ‘plusieurs ue 
sanglantes. |! ; ï 
“Alypius d PULLS TER € 
HOUVETTEUT 
chargés dé l'entreprise. 
dant qu'ils faisaient tous ‘leurs! vent qui s 


| 


It, 


mps était vemeile retourner. 
dans leut ‘patrie et de rebâtir‘ 
leur temple!" Hs l'e freprirent, 
en effet, avec lout lempresse: 

ment el toûte l atdeur asian. 
‘ux que le, souvenir de ces 
préparatifs remplit encore d'é 


2 


tonnement rapportent que les 
fermimes 


uives se dépouillaient 
ijoux pour Contribuer 


de leurs | 


à l'entreprise, que les plus dé 


ficutes mottuiont: Ju moin. à 


: la Syrie furent! icofnbres dans leurs robes pré- 
Pen- icieuses, 


Mais un tourbillon de 
s'éleva tout à coup et 


l'ouvra- 


ge... 


ct lonttout le 


= d'une : 


bent rec 


travaiHeurs vouiurent fuir, un 
du 
les. attéignit 
tres, leur laissant: à: tous. les 
inmarqués les plus visibles de Ja 
colère du ciel. Ceux qui élaient 
présents elspectateurs du pro- 
dige montrent encore. aujours 
| d'hui des croix qui furent alors 
| imprimé cs sur leurs jte 


a 


à - vai 
\inanimes c'est que, lorsque les 


‘Une circonstäanée:univer- . 


bientôt, È 
on fut! consuma les uns, mutila les au- 


: ments.” (Saint ‘Grégoire de Na- 

|zianze, 2e _disconrs ‘contre Ju 

lien. 2 EE MA a tre 
“Conclusion 


tt 


; Voilà des prophé ties-très nel. 


ON N'a pu rétablir. 
présent? Ce n'est pas que ‘je 
veuille insulter à leur infortu- | 
n6, puisque j'ai voulu moi-mé- 
me rébâtir cé temple en l'hon- 
néur de la divinité quion.y in- 
Voquaits fo Ne CHE CE TANT qe 
pour montrer qi'il, n'est rich: “de 


tout cé: qui es environne, Ces 
Juifs s’écrient comme des for- 


cenés: “Tremblez, h: Sitants fe 


li 
COUT dans les chôses humai- |: 
Aveugles ( qu’ ’ils- sont sur | Sion une reinarque s’ impose: 


el esel.tr réci 
ERA? ès précises. 


Leur score ment est vi-. 


| sible. 


“Donc, cefui qui en ce est l'auteur 
a dit la vérité: IH s'est affirmé 
Dieu. Dônc il est. Dieu. Donc 


ns 
En présence e.de ce te Date 
#Si les contemporains du Sei- 


gncur -ont eu, pour: affermir 
eur foi, la réalité même de son 


la terre! ereignez- le fett Ja fou: appar ition.- ous sommes: large- 
dre, le glaive ét la mort!” em-| ment compensés de cette priva- 


ployant avec emphase les ex- 
pressions’ les plus terribles pour 
désigner Ja chose du monde la 
plus simple, la propriélé. des-|\ 
tructive du feu.” 

Le rabbin Gédaliah, qui vi- 
vait un siècle plus tard, mais 
écrivait sur_des mémoires an- 
ciens, dit:."‘Aux jours du Rabbi 
Channan, nos ännales rappor- 
tent qu'il y eut ün grand trem- 
blement de terre; il détruisit le 
temple que les Juifs. avaient 


construit à grands frais par or- 


dre de l’empereur Julien. Le 
lendemain, le feu du‘ciel tomba 
sur les ouvrages, mit en fusion 
tout ce qui était de fer et con- 
sum un très grand nombre dG 
LATE LM [ 

emttet Grégoire de Nazïiante, 
conte mporain des faits, puisque 
lui-même avait connu Julien 
dans sa jeunesse, nous donné de 
‘nombreux détails sur, l'événe- 
ment: “‘Souseprétexle de me 

trer Sa bienvéillance aux Juifs: 
dit-il, Julien s’elforça de... les 
convaincre par leurs'-+#radi- 
tions et-leurs divres, que le 


mêmes dispositiéns. 

L'étranger prit alors la pa- 
role: 
J'ai ce qu'il vous- faut, Sui- 
'et-votrs-ser 
rez satisfaits! : 

Très intrigués, les deux -Aui- 
lais gagnérent, à Ha suite de 
eur guide,-un bouquet de trem- 


Derrière les halliers! une ju- 
unspeu maigre, 


|sont deventis les autres? .. çon nous a soûstraits aux [n-|mais d'apparence très vigou- 
| Morts! affirma le jeunc|diens:. reuse, mordillait le tronc’ au 
homme, qui n a pas ouvert! Et, ce “disant, le fermier selquel on l'avait. attachée. 


tournait vers le 
assis à l'écart. 


.“Morlis ou 
mains des 


ka bouche jusque-là: 
tombé ‘s entre les 
Cris. ; ’ 
Voyant qu'elle avait repris 
€ ‘omplète ment possession d'elle- 
méme, le fermiér, en que lques 
mois rapide s, lg init au couränt 
[ des dérniers événements ou, (lu 


jeune homme 


lement désireux de répondre à 
celle questjoir indirecte. « H-se 
contenta de. désigner du doigt 
à $es compagnons une légère 
fumée.qui-s'élevait à une cer- 
nioins, de ce qu'il en savait: car, [taine distance’ au-dessus des 
jau moment où sa fille  sléva:[buissons, sur la rive opposée, de 
nouissait, une balle tui- éraflail} ka ET FU TS Wan. 


| forteme ht le bras gauc hè.. Tau- Là-bas est le camp des: 
|téfois, préGrepé avant out gr € ris, dilt- -i]. :Vôiei Je jour. qui 
[savoir si son énfant, vivait, il {tient. Il’ne faudra pas trop 
était resté penché sur elle un [etinrde r'ici. } 

te mps inappréciable. Quand il fixant sur la: jeunc fille 
avait relévé-la tête, la chalou- 


ses véux bruns, il continua: 

Si vous ne vous sentez-pas 
trop fatigué 6, miss, vous quitte- 
rez même le plus 1ôt possible 
ces lieux. © } : 

Miss  Clamorgal"” äffirma. 
qu'elle se trouvait maintenan 
tout à fait remise et qu'elle né 
demandit qu'à s ‘éloigner: Le 
farmer approuva aussi, la pro- 
positiün., Toutefois, il exprima 
avec. un sou pir son regret d'être’ 


pe ‘ét le radeau accostaie nt la 
bérge sans qu'il pût s'expliquer 
par quel mystère, 

Au mème instant, il rece vait 
derrière le erâhe un coup. vio- 
lent qui le ‘jètait sur le radeau, 
étourdi: Lorsqu'il retrouva ses| 
esprits,’ il faisait nuit {oujours; 


[un profond silence; il sentait 


|résta longtemps éténdu dans contraint. de vartir l'estomac | c'ést qu'il ÿ à fort loin. 
ui état de prostration qui fé ju peréux, ët-questionnéé par.Jlui,.sa Hatilelord-et.— ane 4 
permit pas de se rendre comp- ‘aie avôua sè trouver dans les » oo A yY à. environ djuatre- 
k k ts » L È FA n N ? + “ a au 1 À 
‘ 4 , , ‘ Lui 
CN CAPONUEN à A. , LAC Se , A “ic Rte 
VAT Pt 6 PDO Le er LS Me 
3 Te HUE CARRE # 7 


can” 


Au trousquin élévé de la se À. 
le étaient fixés, outre une eou- 


Mais ce dernier. ne parut nul-}verture roulée,: une gourderet 


in petit sac de 
flait son conte nu. 

Le jeune fiomme prit l'uné el 
l autre: 


péau: que, gon- 


” Voilà de Féauet du hui, 
dit- il en. éle svant ‘la gourde, 
Quant à eeci,-c'esi du * “pemmi: 


Lorsque Hughes". C lamorgan 
et sa fille se. furent désaltérés à 
leur gré et qu'ils eurent absorbé 
leur content de la. grossiere 
mais fortifiante. nourriture, le 


possesseur tt Ty" pates avant{ 


Alacéhé sa monture, : tourna 
VéTrS 'CUX !:: 

Le moment de nous sé épa- 
rer est vépu, dit-il, Le mieux 
que vouslavez à {aire est de \gi- 
gner au plus 104 Battleford: Les 
abords maintenant eh sont li- 
bres. Le colonek Otter y arnène 
des renforts; vous n'aurez rien 
x.y craindre des Indiens. :.* 
«+. Mais, objec ta le färmer. 


7 s” ds ' + 


lion par des preuves que les té- 
moins de son existence ne pou: 
vaient avoir. Is n'avaient de- 

vant les veux que la base de 


l'édifice sur laquelle, pins aie 


confiance en l'avenir, vin- 
sn chacun déposer Leur piet- 

;, tandis qu'il nous est donrié 
Se voir cét immense 


dans la plénitude de son achè: 
vémert®"_(Lessing.) La plénitu- 
de, de son achèvement, c’est la 
réalisation dés -prophéties, de- 
vant- lesqnelles nous devons 
nous éerier: “La vérité sura- 
bonde dans vos témoignages. ô. 
Christ. Vous êtes bien, ainsi 


que vous l'avez. dit vous-même, 
la Vérité et la: Vie.” 


la V vie, 


vingt- huit milles, re prit l'autre 
sans. s’'émouvoir. Mais voici 
Une jument qui.vous fr ènera 
au but säns € ROUTE E lle est 


Bu de 


religion e-fondèe-est-di— pres 


F L trés 
Comme nt- “Vois nous cé- 
derhez votre'moñiturce! 
La figure grave du jeuné 
homme s’éclaira d’un léger sou- 
rire TA 


pense, faire ce-trajet à piéd.. 

surtout dans l’état où vous êtes 
t sans prendre ‘de nourriture. 

1Or, vous aurez, au moins, di 
pemmican.. 

: Fort bien! Mais vous-mé- 


me, comment üllez-vous faire ? 
Oh! moi, je ne-suis pas 
blessé, et puis j'ai urie hôpne- 


carabine, : Quant aù! chey al, il 
né re sgra, pra gi fee ‘dé m'en 


procurer un at 


“Vous né prétendéz pas, je. 


Veuillez CxCUSEr non in- : 


discrétion, jeune étranger, : dit 


Jators Hughtrs Clhanorgan : avec 
mais... 


upe nuance le. raideur, 
votre accent me laisse croire 
que vous" n'êtes pas Anglais. 
j'entends € anadien-Anglais? 
Non,.jé suis demi-blanc. 
Demi- “blanc. étossais À 


Appüyé sur sa btarabine Win- 


chestér,"Vis-à-vis ‘du fermier 
qu'il emveloppa d'ün'tôup d'oeil 
résolü;"le jeune homme-répon- 
dit d'un ton ferme: | 


— Non, sir: Demi-blane fran-, d 


çäis. ! ; 


; Unsileñce un h peb embarras- 
sé-suivit ces -paroles, Enfin,: 


l'Anglais, “portant la main à sa° 
d'ici ceinture, s'écria nee Une, évi- à 


deal; satisfaction 
Le es GA suivge} ess 


LL 1e 6 
Fi 


rogrés ÿs 


Er 


par exemple 


seul diocèse de Qué 


‘’hérents du syndicalisme éatho- 
ent, à l'heure 
re. de dix-huit mille. 


= he aile 
, le chi 


Ds depuis quelques nnnées, 
resants. ‘C'est 
ue, dans le 


€, les ad- 
wit 


fi c'ést un mouvément qui vient 


de commencer : H y ‘a cinq ans; 


ET | ouvriers 
: À si Aféfionales. 


“ont pas char 
É Anai 
« se sont ces 


vonfessionne iles. 


organisations : 


"5 nées dutant la guerre.. 


où en compte une | et à dire , 
“Es douzaine. 


‘ re Là Québec 


appartenaient 


gé de « 


ue tous à des unions neu- 
soit naätionales, soit inter-| 


{I va, sans dire que celles-ci 


“aractère:; 


presque toutes les. autres | que.” 


-er-asdociations } 


Qu 


nation 


cles 


aux 
qui 


ant 
ales 


sont 


toutes nettéme nt e stnollques. 


/ L 


ee 


Még chez les ouvriers. na-| 
tionaux. cé mouvement-rencon-! de leür part, ce n'est pas tou- 
tra, ai début, une forte opposi- | jours ‘mauvaise foi. 
tion, Certafns préténdaientque- 
c'était ung: muno uvre destinée 


à tüer leé unions ouvrières: les 


associations de 


s 


se chamations 


mt on 


seraient, croyaient-ils, des.“ 
@ns de prières”; les justes ré- 
des 


pourraient fuire entendre ou 


ONU 


parlait 
uni- 


rierÿ .ne 


+ seraient étouffées“parce-que 


les prétres 


h 


sont pour la paix et 


contre Taïgrèéve”, et le reste, et 
lé reste: une vraie litanie de 
craintes, tout un chäpelet de! 
suppositions.… chäritables et! 


fausses. he ureusement! 
Car-les événements ont fait 


# 


mentir les prévisions pessimis- 


tes LES 


augmentés de 
alors que. 


iN “VISAGE A DEUX FACES” 


daris Je- 


trente 


pour cent main. 
“reste du C ‘4° Fe 


_ Tout Je monde s'accorde  à}uada, les ouvriers syndiqués ini-| 
recohnaître ‘que l'organisation fernationaux obtenaient un re- 
euvrière-cathotique-a-fait chez Hevement-qui- s 


Mingt-cinq pour cent; et n-} 
dant que, pour aboutir à de ré- 
sultat inf r, ces: iers |. 
recottraient à la grève et done, |. 
ET rdaient, par le chômage, 
er ETAT LE ee eglalent 
ers ,'cat aient 
toutés,: leurs Lifficuttés 
avoir em de se EE rite 
une -fofs, de 
neux. 
Atjourd' hi: — quoi de sur- 
nant! -- les ouvriers de 
Québec sont entiérement con- 
[vertis, au syndicalisme catholi- 


, 


: La plupart des patroiis, fnal- 
(heuremenent ne le sont pas 
‘encore. Ils conHmuent-à penser 
domie il y 4 cinq ans. 
[que "€ est bien mieux pas d'u: 
|nions” et qu’ “elles sont toutes 
pareilles.” 


Nous croyons volontiers que, 


Dn man- 
que de données précises sur l'é- 
volution qui a eu lieu et, com- 
me dans: le cas des _ réforma- 
teurs de notre  enseigsement 
‘secondaire, bn juge des chosés 
d'aujourd'hui par la connais- 
sance que l'on a de celles d'hier. 
Ce qui vient de se passer à 
Lauzon et à Saint-Grégoire de 
Montmorency aide ra, nous vou- 
lons l'espérer, à la tonversion 
des patrons de bonne foi. 
Car, rien ne prouve mieux, 
nous semble-t-il, I, que les unions 
d'ici ne sont pas “toutes  pä- 
reilles"”: il y a, vraiment, union 
<t union: -rien ne se. montre 


sdieatiene catholique plus chairement-par ailleurs: 
aLgelui qui, dépiis cinq ans, a que les uniôns catholiques sont 
“procuré le plus d'avañtagés aux’ une bonne chose, ‘même pour 
ouvriers chnadiens: les-salaires:les patrons qui les combattent 
des travailleurs québecois. qui, ou 
‘lui ont voté confiance ont été | 


qui les ignorent. 
C'est ce que: nous verrons dé- 


# 


L' ‘Action C ‘atholique. 


Ce que le ‘‘Journal'’ d'Ottawa, Sntidie anglais extra- 
loyaliste, disait hier de la royauté anglaise et ce qu il 
en dit aujourd'hui. 


: | 


; a ville 
dus les choss: elle 
14 nement les li 


de 


sentiments 


éprouve 6n face de celui qui est! 


a man 
ivns  d’ 


-respect 


d'Ottawa à bien fait] ciane où r'Angleterre mettra 


ifesté di! 
affection | 


qui l'unissent à la rovautéles 


qu'elle 


- appelé, dans un avenir plis ou 
moins rapproclié, à tenir. le 
scæeplre, Svimbhole de l'autorité 
supréme dans-le plus grand 
empire du inwgnde. 

En dépit des idées démocrati- 
À uues outrées qui se sont répan- 

.. dûües dans notre pays, depuis 
quelques -abnécs! l'enthousias- 
me du peuple à té sincère ‘et 
joyeux et le visiteur princier a 
le droit de croire qÜue. ‘pour 
longtemps -epeore, a-—rovaité 


: que 


unit dans nt 


rester dans le 


mpire 


l'institution séculaire, 


meme it 


brjtanni- 
qui 
léal tous 


les peuples groupés _à l'ombre 


du drapeau an 


Mème pour ceux qui esperent | 


qui ke jour-.n'e 


gluis. 


st peut 


Noé Rodrigue 


etre pas 


Viandes et épiceries de choix 


‘ Boeuf, veau, 


lôgume 


por *, lard 


%, oeufs 


1 salé 


COIN CHEMIN SANTE: MARIE 


‘ET CINQUIÈME ‘AVENUE 


Téléphone Main 1494 
SAINT-VITAL 


. Ciniment Minard 


USEZ DU!’ idéte, représenté pair sa ville 
LHMENT 


MINARD: 
CONTRE 


l1 


Les 


x 


NFLUENZA 


ESPAGNOLE 


Les Rhumes je 
Les Frolds | 


miux de : 


GORGE : 
La Diphterie “roi” 


etc 


fr 


! 


n 


le camble à sa sage politique 
‘coloniale en octroyant T'indé- 
pendance absolue du Canada, 
la-visite:du prince de Galles est 
un événement qui sort de lor- 
dinaire parce qu'il'met sous les 
veux de tous'ila grândeur subli- 
me du principe de. l'autorité 


daps les manifestations de res- 


pect et de. véñération que 
proyoque le. passage : de celu' 
qui le représente et l'inéarne, 


Ces manife ‘stafions n'onbrien | 


d'éxagéré el auront, nous les- 
pérons, une salutaire influence 
sur les esprits dévoués et per- 
verlis qui sont toujours prêts à 
icter dans Le peuple Ht-graine 
de révolution et. d anatéhie. 

Ces démonstrations feront con- 
trepoids aux uppels irrefléchis 
de certains journaux trop Jà- 
ches pour répéter en face . du 
Prince ce qu'als on! vomi à dis- 
li ince, 


| : * *, » 

| Sur lout son parcours, Île 
Prince de ‘Galles : a  Entendr 
expression zdes plus beaux 


unliments et des souhaits les 
[plus merveilleux. Ha vu tout} 
un;peuple se presser antour de 
[ini pour obtenir un re gard, une 
| pétgnte de main, ün sourire. 
Tous les journaux du, pays 
ont salué soh-arrivée sur, Ja ter- 
re canadienne par les souhaits 
de bienvenue,les plus réspec- 
lueux et les miëéux tournés. Füs- 
qu'à l'Ottawa Journal Ga ru 
dévoir y aller de son adresse 
particulière à Son AltesseRoya- 


* peuple canadien loyal et 


“capitale à, aujourd'hui. l'hon- 
‘neur de vous souhaiter lu bieyr- 
vente. Il considère que c'est 
“un privilège unique dans la vie 
“que. de voir en persénne, un 
‘anneau si fort dans it chaine 
‘de. l'Empire. britannique... 
‘Vous venez à nous comme l'es- 
“poir de. la permanence de 
“l'Empire, le porte-étendard de 
“votre maison dont l'histoire 
Fast si glorieuse et si remplie. 
No content die xpr imer' de si 
les chose&en un si-Hgau lan- 
gage + il dit, le lendemain: “A, 
“cause.de.certuines caractéris- 
“tiques de l'Empire: britanni- 
“que. le système monarchique 
“est. ce lui qui s'adapte le 
mieux”. Et plus loin: “L'Em- 
“pire ess a be soin d'un 


Tout celà PA bien gentil 
inérilerait des éloges si ve n'e- 
uit de l'hypoerisie et.de l'avi- 

Lo ? : ‘+ 


ce té rui-f 


et le£ 


k 


DR L-- G. BENOIT 


“SUREAU: 2 Éviric SEURR. 


(En dù Bureau de: 
“eneges .607- oenuor 
pes. mont k 


EBRENU FIÈRES || 


Travail d'expert dans 


est le taux | d'intérét que 
_ &iCordons sur les fonds 
: ans notre, Société pour une pé{' 
: mode de trois à'cinq ans i 


ts 4 Li 
… triés. téléphones ou ven. 


ngaises et col 
[ décoré et 
nommé. me, pour | sa gon- 
duite ‘héroïque. 


N. Pirotton SE. Contant | 


135-141 ouBUc : 
Norwood,. Man. 
Tél. Rés Maïs 605 
‘Maison fondée 
.en 1914 


[te à son auditoire de Winnipeg 
[le nom de l'ancien chef conser- 
vateur français. ; 
Mais il en faut toujours reve- 
nir à un autre point: Qui niar- 
leche avec l'ex-ministre des Tra- 
vaux publics? . Celui-ci, depuis 
des mois, travaille dans 1 | 
lisse. : : Ses collaborateurs, po 
la première fois, voñt être Shi 
és, comme lui, de s'afficher. 
1 annonçant la constitution! 
d'un comité national, M: Rogers 
s'oblige à fournir des noms, et 
des noms : de partout. Nous 
avons assez hâte de voir sa liste. 
Ce sera l'indication la plus 


ue 


. nous ‘voir. 
# 


po # 


Thé Trüstee Co. 
AI Winnipeg, Lu. 


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ment à votre appel. 
Nous faisüns aussi le ‘trane- 
port de malles 2t marchandises. 
Essayez-nous. | 


lisse net. - _$i Ottawa Journal 
est sincèré quand il publie de 
telles choses, comiment . va-t-il 
expliquer ce qu'il Le sue ddé il y 
a à peine deux ans? 


immédiate- 2Ç 


ÿ Manuiacturier de mo 
numents funéraires 
‘en, marbre, granite 
autre" pierre, ex-voto., 
pierre d'autel, redres | % 
sage, lettrage et met 
toyage de monuments LT: 


. Et 


F 


Le 26 avril 1917, quelques se- 


ë * 


qe eng mm 


‘jposes.  -1 d 
maines après le renversement |Précise qu'on-nous ait encore dées 1916 deu Pour obtenir le maximum de sätisfaction. consigien votre grain 
du trône du Czar Nicolas “dc donnée sur Hi force et le carac- pe À : "tot à la Vieille Maison. de Confiance des Courtiers! Le 
Russie, révolution qui a eon-|tère du nouveau mouvement. l'Ouest. iso 
duit les Aliïés à deux doigts de À ren | JAMES RICHARDSON & SONS, Limited} 
leur perte, qui à plongé lepeu-}— Le Devoir.” RE 
pri ans Fi as Lt er ee Le . C.-A. GAREAU RE) * Etablie ‘en 1857 
ét de malheurs, le: Journal-| ’ : . M Re !. s 
A cd qui avait RARES bru- Mer br vhs peux 467 DESMELIRONS, ST-BONIFACE Vérification attentive des qualités, généreuses 
talement sa joie de voir un mo- L : ; en yes " : 

Barqué-reriversé, répondait en 3 nr er Aé ura “immeubles et prêts ‘ Po. a remises: , 
ces termes à M. LeS üeur, qui St-Paul, Minn., 5. -— Le Rév. f°4 Rrsent sur ferme, 2 
lui faisait remarquer qu'il aÿait Pére Conrad Glatzmaier, Béné- Lbts BUREAUX DANS L'OUEST: 


FO etes 


nie et de “trackage”. 
dictin. curé de Sainte-Marie, .et Ra D | 
M. l'abbé Jules Perigord, curé ! 
de Saint-Joscph, de fiiweater,| 
ont été tués hier lorsque leur | 
auto fut frappé par un convoi? 
de la Soo Eine, près ” Bald: 


manqué de respect pour l’ins-, 
titution qui est à la tête .- de 
l'Empire britannique: “Nous 
‘aurions dû faire suibre. votre 
“ällusion aux ‘“royautés" par 
‘une prostration jusques à ter- 
“re ajnun de baiser respectueu- |. 
“sement les  orleils- royaux. 
(Page de rédaction, Journal-|. 
Press He 
Puis, tontinuant sur:le: méme 
sujet ik décrit tous les crimes 
dont les rois d'Angleterre .,se 
sont rendus/coupables au coûrs 
des siècles, admettant,  toute- 
fois, que les derniérs ‘rois sont 
“passables” (tolerably respect- 
abtey. "H nôts se HiBle 6 que ce 
même journal chante une autre- 
chañson en:face .du Prince de 
Galles. 


Grain. Exchange, Winnipeg, Man. 
Grain Exchange, Calgary, Alberta. 


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de l'ironie pour le’ plaisir dè se |‘ xp At ente urgsnle POUF CAU-|| raies, Bière, etc. etc. { L 
moquer d'une institution au: [°° de santé. , Gros et détail. - Carrière” de sable: Carrière de gravier: — 
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ants mal élevés de se .moc üer’ 240! ac tes.en culture et clôturés.! . , ' LR" 


des vieillards et de la vieilles-|Pas de bâtisses Avec #1 500! 

se,/ce qui serait excusable, mais {comptänt; balance en 6 ans, E rm 

il y D IL y a un proton seulement #37 l'acre.-— ee TT ” 
ion de foi - “antimona chique j ; dira 1] 4 à : D: À 
qu'il est nécessaire de citer” ui Starbück. — ‘240 acres, en lp J. , BARKER. “JÆÀN 3. DAOUST TEL. M..6645 NAP. TAILLEYER 

cisément-au - moment où lelculture. Cette terre-sera vendue | É — GERANT -"B. P. No. 159 SICRETAIRS à 
Journal fait sa prostration jus- [avec labour d'automne tout fait. | Eosrepn neur de rs PNR : 

ques à terre pour baiser respec- eg l'acre. Termes raisonna- pompes bres UNE ORGANISATION. RESPONSABLE - 
fueusement les otteils roÿæux”.|P'es. et embaumeur i L 

| J T ENTK re 

. is oburr re . 1. ae st Fannystelle. 3 miBes et catholique tr - FAR TOY 8 PERINES C4 À 
. Dans le même article, le!della gare. 320 açfès;-presque ” LT trs p 

Journul- -Pre ss ,du 26 avril 1917! tout en culture; bonnes bâtis-! Dans, un district : 4 ® 

SE AE qu n'avons pas de ses: deux bons puits. $45 l'acre. ! résidentiel Jean fs Dadust. Limite: 

“conseils à donner au , peuple. > Î | ; x 

“Te De Gronde-Breih ah RP Madeline. District de St- Chapelle mortuni- ENTREPREN EURS GENERAUX l 

“question de savoir s'il doit re sa mt 170 en D re. privée £ di 
“conserver la monarchie et la [Tree ôturg. Bâtisses: éeule, | is. EGLISES “+. y EXCAVATIONS sn 
“ristocratie, combien. ‘de te Imps église, bureau de poste atténant | 1] Coin Brezaway. 4\ Donaie COUVENTS FONDATIONS: } 
“il doit les garder. C'est une|à Ha ferme. Un aûtre 160 acres!j "see "ses si hélas. = RESIDENGES BEPARATION y à 
Saaire-qui le concer ie ét nous | tent près; +90 acres en culture ; pe : FA Batiments pour la Ferme 4 “pe 
“serons satisfaits de ce qu'il dé- bâtisses. Pour cause de mala- i < 5 t : 
“cidera d'en faire. Nous pen-|dié, on vendra de suite à #8 l'a- PLOMBERIE -- CHAUFFAGE :--. VENTILATI 


cre. Offres reçues pour achal 


“sons que l'Angleterre n'attein- 
tout comptant. 


“dra son idéal qu'après s'être 
“débarrasse de l'une et de l'au- 
“tre (a monarchie et. l’aristo- 
“cratié), 

“Comme sentiment 
té, de respect, d'amour, d'en: 
thousiasme, de dévouemeht, à 
l'égard du Roi et du royal visi- 
teur, le Prinée de. Galles: il 


{nous semble que le. fournal au- 
rait dû reproduire ce texte qu'il 
publiait au plus fort de la guer- 
ré, au moment.où les Alliés re- 
eplaient sur tous -tes-fronts et 
payaient, par des flots de sang, | 
da révolution russe. 

Nous. avons trouvé ces Hübo- 
les odieuses, en cette c ircons- 
lance, et nous nous sommes 
promis qué-le jour viendrait où |. 
il serait opportyn de rappe ler 
ces propos révolutionnaires et 
anarchiqués.: C’ est le moment. 
Le Journgl va-t-il avoir le cou- 

rage de jetér à la face du Prin- 
ce de. Gahes, le mépris de lab 
royauté qu'il affichait ‘en 1917? End, ae re gr pre 24 -B KR 


Albert Foisy. et apféiare de partout 


e Droit. Eat —— 


Pillie. la dogeur, - 
dez à n'impo uel pharma- 


cien ou Laporte de remèdes 
quéHe-est la plus rôpulaire des 
huiles médecinales contre les 
douleurs dans lés articulations, 
dans les muscles, les nerfs, con- 
tre la neuralgie, le rhumatisme, 
ét il vous dira que c'est FHuile 
Eclectriqüe . du'-deeteur ‘: Tho- 
mas. Elle est plus en demande 


NE PORTEZ PAS 
DE BANDAGE 


Fermes à vendre dans les pa- 
roisses françaises. Terrain de, 
jardinage aux epvitons de la | 
ville. : Maïsons et lots à" Winni- | Un ‘support mécanique ne guérit pas--" 
pegæt Saint- Boniface à vendre! Un bandage: qui Pros est nuisible. 
à des prix. et conditions avan-| 
tageuses. Assurances contre’le l'e 
feu. - 


de loyau- 


Le bandage n'est tout au plus qu'un 
*pédient-—un faux étançcon à un mur 
croulant-—et l'on ne peut attendre “de 
|lui que ce qu'on peut attendre d'un ||] 
support mécanique. Le bañdage--qûi L 
comprime nuit À Ja circulation du 
sang, dérébañt ainsi aux muscles af: 
laiblis ce dont ls ont le-plus besoin—- 
| leur nourriture. 
Mails la science. a trouvé une solu- 
; tion et toute personne qui. souffre de 
t ne eu bandases est invitée à faire GRA* 
EN SE « {TUITEMENT et privément une expé- 
à l'rience, ‘Le COUSSINET ADHESIF 
| PLAPAO de Stuart est certainement 


/ SERVANT DES 
|le traitement le pius scientifique, le 
| plus heureux “ontre la.-herme que le 


/ PA PIERS \ |monde ait connu. Doux comme nn 
À M QUUH ES velours, d'emploi facile et peu dispen- 


.| dieux, Peut se suivre au travail et 
WILSON 


‘durant le sommeil, Quand {il adhère 
très bien au corps, il né peut ni glisser 
| ni se déplacer, de softe qu'il ne peut 
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be expériences et queïques résultats. — Îls démon. 


trent co facilement on neut se constituer 
" bon troupeau de Jaitières. : 
«Par ES: Archibald, BA. B:S-r7e pour “chaque gé nération suc- 


\, dir. des Fermes Expér) \cessive de génisses, qui n'ont 
Les formes expérimentales! pus fait une augmentation de 
du Dominion se sont béauconp: production proportionnelle à 
occupées de ce sujet en ces sept! Eamélioration dans leur gé né- 
dernières années, et ‘un grand alogie. ‘ ; 


nombre d'éxpérientes portantl. Chaque généraffôn de génis- 
sur ée point:sont maintengnltentses avait. été accouplée de fa- 
cours d'exécution Nuls. nu: | ON à Véler, au Pie me âge et.à 
vons ehcore que pel de.résul-! fa même saison (de l'äinée que 


tats précis à donner, car ‘il Jés génisses de sguche. Si nous 
Taut nécessairement accumuler | avions eu des padages à 
des’ renseignemeèents trés-exacts! donner: la comparaison aurait 
pendüntun.grand noinbre"d'an- {été idéale." Mais dans'les con: 
nées sur ‘un sujet tissi near | ditions ou nousnous nous trou- 
tant, + “. |vions, ‘le: manque : toujours 

Tant de facteurs sout à consi-|croÿssant d'aliments a ‘été un 


he nous est pus encore possible; que générälion successive de gé- 
te présérite r-des  conchrisionétmsses #mméliorée LL 
précises. Cependant les, rap-! En poiut fräppant que ce tra- 
‘ports sommiuires qué:hous pu-} vail a mis en relief, jusqu'ici, 
h lions ci-après mérilent d'être! 
Ctudiés, car ils montrent 
de # progres opt été spé 
_ En Toute Justice pour 168 va- 
ches et lés génisses plus } jeunes, 


À ya deux points qu'il né à 


‘de mentionner, savoir 

1. : Pendant la guerre il était 
difficilede se procurer des.ali- 
ments, e4:c'est pourquoi les gé- 
“hérations “plus jeunes n'ont pas 
‘cu d'aussi: bonnes oc asions | 
qué leur mère au niéme àgè: 

2. Les’ troupeaux métis. se 
sont aecrus rapidement 6t cet 
uccraissement pur lur-méme 


que) Yérentes races ont perdu leur 
is.|type laitier, la couleur et -‘les 
autres caractères de Hr-race. 

La masse de. données recueil? 
lies jusqu'ici est si volumineuse 
gue nous ne pouvons senter 
qu'un rapport sommaire. Voici 
les points qui réssortent le plus 
jusqu'à date : 


A: Les génisses métisses :de 


le. production à l’âge de deux 
ans, mais cetté production ne 
s'est pas beaucoup accrue lors- 
que ces génisses sont. devenues 


. Si ifie. g )'O- 
signifie généralement line pr | de s vaches formées, à cause des 
duction ‘plus faible, mais avec le 
les-.condilions. de. miaïn-d'oeu- |"1s0n8 déjà citées. 
k 2. Génisses : Avrshires .X 
vre_6t d'aliments. résultante de L NI CULTRSS \yrsbire du 
la guerre, le mänque de paca-| Premier croise ment (veaux de 
je, € te, il va tte nr consi [la première génération issus de 
"her etc: i _- “ » , lées 
A re sses e,Ss0 t Oo ) 
dérable d'erreurs qui peuvent [8 ti d uche accouplées 
à un taureau Ayrshire) 50 
ètre corrigées Fannée au inte: 


Cosse 


Nappan, Nouvelle- 
_ Expérience 
1911: 
Rapport: sommaire 
ter. avril 1919 
En- 1H, nous avons acheté 
comte troupeau de souché on- 
ze bonnés :génisses 


{pour cent'-de ces gémisses ont 
dépassé la production: de leur 
mere à l'âge de deux ans, /28.5 
pour cent à l'âge de trois ‘ans; 
112 pour cént à Fâge de 4 ans 
et 33%:3-pour cent à l’âge-de cinq 
ans, L 
Deuxième généralron di: 
génisses Avrshires (Gillés du 
premier <roisement Ayrshire) 
75 pour cént dé sang Avrshi- 
À âge de deux ans, 25 


commmenceg on 


jusqu'au f 


antenaises | 
T'métisses, représentant le $, bon- 
.nes génisses laitières de ce gen- 
re dans cette partic.de la Nou-lre 2 
velle-Ecosse. Ne uf seulement | pour de ces ge nisses ont dé pas- 
de ces bêtes ont été employées ist ja production, de lèur mère: 
dans-cette expérience. Elles: se {à l'age de trois ans, 25 pour cént 
sont montrées de très bonnes cnegfe étaient supérieures et à 
génisses, donnant une bonne ah àäge de qua itre ans, 33.3 pouf 

| 

| 


produrlion, bien supéri ure 
la production moyenne des ge: | 
"niss s métissées dans l'est du Ca- 
nada, Pendant trois pre- 
mieres anñées tés gérnisses de 


Par comparaison aux ué nis- 
ses de souche, à Tàäge: de trois 
ans, 33,3 pour cent des génisses 
de la deuxième génération se 
souche ont été acéouplées à des !$ont montrées supérieures à 
taureaux Aysshires, HolsteirsHeor grand mère, 
et: Guernsevs ét-ont donné res-! [R “rshires 
_peetiveme mt huit, six et trois | croise méat : 871 
génisses. . Cette opération a été | sang- Avrshire 
répelce les {rois annees sUIVan- pas-eu encore une bonne occa- 
tes et il ki est résulté, quatre, ! sion d'être comparées, mais 
trois èt (Fois genisses de la mé- jusqu'ici elles.n'ont pas dépas- 


les 


du troisième 
» potir cent de 
e elles-ci n'ont 


me souche. Les génisses et leurEsé leur. mère. d'une füçon" ap: 
progéniture ont éte continutlle - préci: ible. 
mentaccouplees à des Gufrcaux! 5. Génisses Holsteine du pre- 
de lu méè me race qui k ur pure, |mier, croise ment (pre mière gé- 
‘Il est-rüsulté de cûs : op rar |: iération de veaux issus dès gé- 
tions, au cours de cés sept an-|nisses de, souche accouplées à 
nées, un troupeaurnoembreux delun taureau Holstein]—-50 pôtir 
bonnes.vaches. métisses, toutes lecnt de sang Holstein--350 pour 


descendant dés .n£uf genisses 
imnétisses et toutes issues de tau- 
réaux: de race pures cNUCONT 
croisement de r&ce a été: fait 
Lorsque cette expérience à 
été commencée, TOUS :,n UVIOns 


cent de, ces génisses ont dépas- 
sé Jeur mère à l'âge” de deux 
ans, 166 pour cent à. l'âge de 
trois ansset 16,6 pour cent à l'à- 
se de quare ans. L’ améliora- 
liont n'est {pus ru ussi prononcée. 


une quantité suffisante de paca--aue pour Ha press: ‘généra? 
ge que pour key géhisses de sous tion des génisses. ‘C'est peut! 
che @t.la première génération ètre parce que le, taureau n'é- 


de veaux, inais nous comptions 
augmetiler inmrédiatèment lé 

tendue di paecages Cette 
augmentation ne est por fais 
te cependant, ‘à.€ ause de. la /mentation d'été n'était donc pas 
guerve. En raison de.cg Fait. là quel bonne. 

produetion dohitedes- vaches) —Perriènre- Rériération de 
de souche n'a pas présenté pénis S Holsteins, 73 pour cent 
l aug EnTMtion qu'elle : auraif} de sad Holstein. 66.6 pour cent 
dû: prése ater sur la production! de ées ‘hètés" ont dépassé : leur 
‘mère à l'age de deux ans; e'est 


NN ré 


er PE 


tait pas. un aussi. bon génitéur, 
laitier, mais plutôt parce qué 
:Fétendue de pacage ‘par : tête 
était moins grande et'que ali- 


ces 


“ 


er nt Man: 5 | 


|FERMIER DOIT AVOIR 


leur! 


c'est que les taureaux des dif-|. 


tresses de l'été. 


{souche ént donné une excellen-| 


k vourell se. 


pour cent de-sang- y rshire, 714! 


l'avantage du silo. 


avec 


M 2 
EE 


f 


RAISONS POUR LESQ 


(Jourgal d'Agriculture) RÉ e as 
La mur de la récolte ensilée est augmen-. 
tée de 40%, sur. la récolte engrangée. Ÿ 


cstbhes produit$"#tiWacre de terre. nt 


j 


: moins de place dans | un silo qu'à l'état s sec: 
une grange. Les je 


“On a beaucoup plis de nourrilure diges- 
tive dans un acre de blé d'Inde, énsilé que dans 
un acre de foin. | ES 

Le silo fournit uné nowrriture d'une qua- 
lité uniforme. de 
ge 4 influence de l'en lage bien” conserbé sur 

la santé et la digestioi est très appréciable. 

Le silo.permet de conserver une plus gran- 
de quantité d'aliments nutritifs qu'il n hd 


sible de préserver bus toutes autres méthod 
connues. RS 


La nourriture la plus succulente est celle 
qui reste telle que. là nature’ nous la donne, 

Attendu que la grange est beaucoup plus 
petite lorsqu'on se sert du’ silo, il y a moïns de 
danger pour le feu: ainsi le coût des assuränces 
est beaucoup rioindre. cas 

Avec un silo le mauvais temps n ‘empêche 
pas de fairé la récolte. 

Son usage nous permet de justes plus d'a 
nimaux, d'augmenter. par là. la fertilité de la 
fermé et de retirer eh Bas une nes os 


ju 'ensilage est considé ré comme la es 
la plus économique ‘de la ration donnée aux 
vaches : laitières-et-au jeune bétail. : 


le troupeai… AT ES pores 


Il permet d'économiser environ un tierÿ.et 
plus de la nourriture donnée pendant l'hiver. 

Le silo PreDiene la perie entraînée par le 
séchage. 

[n'ya pas de dañgét ! Dour lé fourage qui 
est emmagüsiné dans'le Silo durant les che. 
Ce’fourrage fournit une nour- 
riluré succulenté, particülièrement-dans les ré- 


gions où les pâturages manquent de bonne” 
heure: 


Les herbes qui ne sont abunemiént propres 
à faire dù bon foin, telles que: les chardons, : 
les mauvaises herbes, peuvent être conservées 
dans le silo el.changées en une nourriture sa- 

+. tn ad 

RO 1 récoltes peuvent élre engrangées plus 
à bonne heure, pérmettänt ainsi aux fermiers 
de faire plus de labours d'automne. -. 


D'après certaines expériences, il ne coûte 
pas plus cher dé nourrir deux vaches: avec de 
l'ensilage. que d'en nourrir une avec: les mèmes 
produits non ensilés. er: / 


* La commodité dans l'alimeniation et l'é- 
conomie dans l'engrangemei! (car dix tonnes: 
d'ensilage peuvent être emmagasinées dans le: ï 
méme espace qu'üne tonne. de Loin), sont ä 

RUE 
Quand la ration est bien proportionnée, 
l'ensilage est urf plus grand producteur de lait ” 
el de matière grasse qu'aücune autre nourriture 
connue. ; Fe 
Les animaux que l'on nourrit à l'erisilage 
sont, en général,'en meilleure santé. : 
On ne perd rien-de-la récolte-du-blé d'Inde 
lorsque toutes les préc autions nécessüires sont 
prises! 
L'üsage du silo permet de diminuer cônsi- 
dérablement : la superficie des pâturages. 
L'industrie laitière n'est profitable durant 
l'hiver que si lé fourrage est succulent et il n'4 ‘y 
a pas dé raisons de se débarrasser d'une‘partie 
de son troüpeäu pendant les sécheresses. 
L'ensilage est: la nourriture la inoïns coû- 
leuse et la meilleure que l'on puisse produire. 
C'est un -approviskonnement sûr, nonobs- 
tant la: sécheresse, l'inondation ou la neige. * 
Îl est possible de Garder plus d'animaur 


Sur une certaine superficie de terrain lorsqu' on 


fait usage du:silo. . 3 

. L'ensilage permet de faire üsage des tiges 
du blé d'Inde qui ne pourraient être em- 
ployées autrement. 0 


Il èxcelle dé'beaucoup:tà nourriture AGREE 


jen ce qui conéèrne la production du bobuf de 


bouc herie: . | Ce 
YA tient les: jéunes. animaux en bonne con- 


dition, tot en les faisant profiter pendant. l'hi-. 


ver; il facilite l'éc onomie dans la production . 
du lait etdu beurre. 

Son emploi requiert moins de travail pour * 
entrelenir un troupeau que l'on veut: garder 
soin toute l'année à l'écurie. 

“Il pérmet aux pâturages du printemps de 

se rgfaire avant de recevoir le troupeau: 

Il facilite la conservation dir fourrage, qui 
Marit peñdant la, saison pluvieuse sd le’: 
féchage est pratiquement impossible. 


PNA L 


ï moutons est universellement reconnue par tous 


En) 


“+ met fin à la FETST HSE na cultiver que 
du céréales, lésquels ne retourneront pere au 
* sol les éléments souiirés. 

L'e ensilage augmente LE pouvoir des des 
vaches L | 
! Le silo iphlée aix pâturages. et sur W re- 


pose le fardeau de Faparomnoniment pour 
l'hiver. 


‘La pratique de faire pure les “vaches du- 
rant la nuit, et de léur donner de l'ensilage led 
jour, est‘très louable. 2 

Le silo permet Feminésotoier le‘ surplus | 
des années Farsrdante. — les années de 
disetie:—; rs 


L' expérience frouve que les jeunes ei 


.engraissés à l'ensilagëe coûtent moins cher et 


rapportent de plus grands profits. 
L'ensilage permet d'économiser uñe gran- 


de partie du grain nécessaire pour engraisser | 


le bétail; les animaux qui sont hourris à l'en- 
silage engraïssent plus vite et la chair est meil- 
leure. Sr EN EUR Là re 


Le #10 aide au maintien de la fertile dù 
sol... , 


La saveur de l'ensilage pour le bétail et les 


ceux qui en ont fait usage. 


? Le bétail montre une grande avidité pour 
l'ensilage. Son goût succulent le rend-<ompa- 
rable à l'herbe et, à tout fourrage : vert. & 


Le lait de choix provient d'un t oupeau q que 


- l'ôn soïgnè à l'ensilage: PR EX 


Lé silo done uhe meilléure apparence 4 
Ta ferme. s " 


‘Au moyen du silo le fourrage est emboité, 
tout comme les fruits, les légumes. que la mé- 
nagère a mis en bidons. , 


--H n'est guère possible de produire tüne 


dation possibl 


|rage. en bohne condition dès 


steins). 


| déux ans des 


ï 


UE EL 


her:| voir : Fi) 


A: “iétines*” Holsteins _ ‘de 
ment du €hoix. + 


jer [here 
2. Su à sim de: 
Entre cd On :-voit 


we 


4 Ex po 4 ä garantir les 

certaines maladies. 
gi *. Le silo favorise la venté d'u: 
ne ee à un plus haut prix. 
Pr da aen que | ne les Here sg ds a auta 
Mines à ps avante- |' 2 
ges, est la pe rt recomman- 


race pure a 


uit à 


gurcentage de 


en et es o lenus au-cours 


ee... 
Comme. conclusion. : nous di- 
rôns :: 


ne Fonte mais nous: comptons, 
‘année prochaine,--voir une, ve 
‘[augméntation soutenué dans It: " 
production d ee mr lors 
PRES Agassiz, ( C:B.° TRES 
 : parce qu'i est succu- “Expériencé , commeñeée, en” 
lent gs à que le làit qui|1913. di 

Le est succulent el'agré-| Rapport sommaire: jusqu’ s re 
‘Itient le’ ler oe 1919. RON 


‘1, Les dix- huit prétnières 
vaches de souche , comptaient ” 
un certain nombre d'excellentes. 
vaches métisses adultes. Les © -., 
progrès seront donc nécessaire- . 
ment plus leñts que si ces va 
ches avaient été mauvaises, : 

2. En 1915, 1916 et 1917, nous 


gumes avec 


able au goût. our- 
années d'abondance jusqu'au 
Fa 4 de disette. En se servant 

prailage, un. plus |grand 
nombre de” bestiaux euvent 
paître sur une étendue. de ter- 
rain limitée... 

2. Arthur LA AMARRE... 


a ——— 


là un progrès sensible’ sur les 
énisses Ayrshires du même 
élevage. 

Fredericton, N.-B. 
Commenceinent de l'expé- 
rience en 1915. RE 

Rapport sommaire Je au | 
ler-avril 1919. 

1. Les vaches de souche re- 
présentaient la vache laitière 
de qualité moyenne du district. 

- 2. Le premier tableau donne 
Ja production des vaches de 
souche à l’âge adulte, la deux- 
‘ième année qu'elles étaient en 
notre possession, ét après la 
naissance de la première géné- 
ration de veaux (métis lols- 


pour -des «expériences d'alimen-.…… 
(tation, ce qui explique leur pro- | 

| duction-relat) vement plus fai- 
ble qu'en 1914. 


3. Le premier taureau em- 4 
ployé dans ce travail n'avait { 
pas la même excellence relative 
de type et de production que les 
femelles métisses. C'était ce- 
pendant un assez bon taureau. 

4. Pour.les années 1915-16, 
nous: donnons, parmi les dix- 
huit vaches signalées, la pro- 
duction de plusieurs génisses +. 
de deux ans provenant des pre- 
mières vaches ét issues de tau-. 
reaux inconnus. ? + 

5. Nous. avons dû réduire le 
nombre de vaches en 1916-17, 
pour loger les jeunes bestiaux. 
Les FéléVés de celté annide com-" 
prennent également les produc- 
tiüns” données par les génisses; 
si l'on tient comple de ce fait, 
on doit conclure qu'il y.a euwune ‘7 
augméntation sensible de pro- 
des É 
‘En 1917-18, toutes les pre-° : à 
nie excellentes femelles-de — 


, 


3. Le ‘deuxième tableau in- 
CH: © la production. à 2P ë 

énisses, Holstéins 
issues des, vaches ; de souche. 
Une. comparaison étäblit : que 
ces génisses ont produit 2 pour 
cent de- plus et-autant de gras 
que leurs mères à maturité. A 


n 


) 


3 


Race 


aussi grande quantité de bon.fourrage sur un 
acre. de terre, qu'en semiänt du blé d' Inde que 
l'on confine plus tard au silo. rte 

: Les vaches le mangent avec appétit dans 
toütés les saïsons dé l'année. 


Durant l'hiver si.vous donnez aux vachès 


+ 


‘une ration ‘bien balancée de cette nourritûre 


succülente, ebles maintiennent leur rendement 
de lait comme pendant l'été. 


Chaque hiver le rendement de lait dimi- 


nue. On y remédie en servant de l'ensilage 
aux vaches. 3 : 

* Avec un silo o peut garder plus d'ani- 
maux. op x ‘ 


* On peut encore garder, le, même troupeau 
sur moins grand de terrain, laissant plus grand 
pour -la culture.” x 

L'ensilage est une meilleure nourriture que 
les légumes. 


En en servant aux vaches votre-chéqiie 
de la beurrerie dr 


Le silo conserve là nourriture pure, succu- 
lenie, savoureuse; dans tous les pays. 

Un silo, c'est-une tour qui marque les de- 
.grés du progrès en agriculture. 

L'ensilage augmente la production: 
L'ensilage économise. leitemps et'le travail. 
Le silo n'est” pas une in -mais 
une “preuve”. Tee 

Le haut, prix actuel des ds alimen- 
taires et des animaux vivants commande àu 
fermier de conserver la richesse que:la terre 
produit. EE : 

Quand les terrains sont. très élevés, il est 
plus profitable de se procurer une nourriture 
succulente: par le silo que par les pâturages. 

Tous les laitiers de progrès considèrent 


eo 


que le sile-esttune partie importante de leur 


outillage, et sôn contenu augmente grandement 
le rendement du lait. Ù 
L'ensilage vaut. aütant que l'herbe en ce 


: qui.concerne la production du lait. 


L'ensilage est "une nourriture moins coû- 
leusèé que le pâturage: . 7 
GER à ‘ensilage est synonyme d'économie en ce 


. qui concerne le bétail. 


Il engraisse les animaux beducoup. plus 
vite. : Fa : x 

Le silo se paye par lui-même la prerhière 
année: après, c'est un profit-net. : 

L'ensilage est une nécessité pour la pro- 
duction plus économique du lait et de la crè- 
me: le silo devrait être sûr chaque ferme. 

31 n'y. a pas de manières d'emmaqgaster"t#||| 
fourrage” (tonne pour tonne), à meilleur mar- 


w 


ché que le silo. , - |] 


L'ensilage ‘est trés ‘agréable au ‘goût. *. 

Il a été prouvé que le blé d'Inde à silo ou 
l'ensilage. donne deux, fois plus. de matière 
sèche (dry. matter) que les légimes cultivées 
sur un mêime espace’ de: terrain que -le. blé 
d'Inde. t 


‘ÎL y'à un grand nombre de produits pro- 


os pres Li ant] ‘tels que: l'herbe, le Frofle: ‘la 


5 nous procurer, 


| souche ont dispaïrü. Les rele: ” 
vés tle production de cette an- 
née-là ont été donnés par Îles 
filles de ces vaches, dont la ma- 
jorité n ‘ont que deux ans. Dans 
deux années, par conséquent, 
lorsque ces animaux seront en- 
tièrement développés,:le trou- | ñ 
peau métis devrait accuser ‘une 
production laitière d'au moins 
treñte pour. cent supérieure à! 
celle du troupeäu de souche. 

7. : Nous employons aujour- 
d’ hui des taureaux dé qualité 
bien supérieure et nous comp- 


oi Sepi qu d'elles ERA 
au moins 33 pour cent de plus 
que leurs mères lorsqu'elles se- 
re entièrement développées. 

4." Le tableau 3 montre Îles 
‘| vaches de sofiche arrivéès à l'à- 
ge adulte et leur lactation ac- 
tuelle. 

5. Le tableau 4 représente 
leur deuxième générätion de 
veaux issus d’un taureau Short- 
horn, à l’âge de deux. ans dans 
leur période de lactation. On 
voit qu ’elles. égalent leurs mè- 


res à l'age adulte. tons donc qu’à l'avenir les pro- 
, Ottawa, Ont. ‘| grès seront encore bien plus. 
Expérience commencée. en! srononcés. 
1913. PRE o 
él tr rire au 1er 
avril 1919. 
‘1. Les: iohén mjétisses de 


souche étaient les’ meilleures 
vaches métisses, Ayrshires  et| 
Holsteins que nous pouvions 
Elles avaient! 
élé divisées également'et toutes 
étaient adultes, Nous pensions 
qu'il serait difficile d'en élever 
des filles qui seraient pres 
res à leurs mères! 
2; La destruction dé-nos bâ- 
timents par le few en 1913 et 
’autres circonstances nous ont 
obligés plus tard à nous débar- 
rasser d’un grand nombre de 
ces: vaches de souche. Ce fait, 
jeint-à-cet autre fait que-la-ma- 
Jorité des veaux venant: au 
monde péndant les deux pre- 
rmiéres années étaient des tau- 
eaux,.ont retardé les progrès. 
3. - Deux vaches dé «souche 
seulement ont des filles qui ont 
complété. Îne ou plusieurs pé- 
riodes entières de lactation . et 
dont les détails sont donnés ci- 
joint. A l'heure actuelle plu- 
sieurs génisses métisses,, Ayr- 
Pure et Holsteins, complètent 
es productions de ‘deux ans, 
Beaucoup ont donné plus ‘de 
10,000 livres de lait-ét d’autres 
sont égales ou supérieures à la 
production moyenne . donnée 
par lèur mère à l’âge adulte. 
Lacombe, Alberta 
Expérience commencée 
ie 
a rt sommaire jusqu ‘au 
ler ae 1919. 
1. Les vaches de souche sont 


Nous payons les prix les” 
+ plus élevés. 


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BRRRE Eur. 4 É 


de cette. expérence a retardé les. :" 


nous sommes servis des vaches 


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! | Monde, a célébré le 131me an- 
| miversaire de sa am d F gt 
“+ ‘., S'assurance-vie, L'agent re- is et en fra 
ù ANRT  sa.carte ef mr nice [Cours suivant: 
ne 7 n'allait que jusqu'à 1 Denise da Séna 
RS 0 Dre pr 4 Noieurs de la Chambre 
SE de me pagnii _.. des Communes; 
DE . { vÉ pe rec dt su! |: Dans cette visite, la pre 
à FT Johnny” # a Es File ni Le nine Squ'il fait au on Âltes- 
RS © À va . . | “A vendre, un homme pétri-|se le. Prince de Galles renoue, 
RAF > on su avoir été un}sans tarder, ses exceHénts ra 
er Chômage des tramways à | +3 mort St ce ses rs de ié 
FÉRCTE 3 a deux cents äns en-|l’armée canadienne et, en mé- 
| a SG ë Hire, etc., etc.” |: [me temps, entreprend Ja tâc e 
: | ® Columbus, Ohio, 3: = La vi-| 11 n'y a vraiment que les An-}importante de se rendre comp- 


glais pour avoir des choses pa-|te, par lui-même, des ressour- 
silles à vendre. Avec un beau |£es et du développement de no- 
sang-froid et un joli sus ga tre pays, et des aspirations idé- 
les Anglais vendent leur hom-}ales de notre peuple, La cha- 
me pétrifié en “supposant” que a ge sie Rateens 
. . » i i és ui Laccue arto est'une 
de prendre des voitures. ! |Ohojmniral” Pourquoi anglais? [Preuve que les liens: qui unis- 
a À ‘À-t-on re pts traces de gén de À do avr 
grèv costume, de petites pierres ron-|° x.auires ne-quans 
= La ne = |des avec des tites ancres in- | une grande communauté de na- 
: {|crustées' sur les pectoraux et|tiôns, n’ont jamais été plus in- 
EU times ni plus. fermes qu'au- 
jourd'hui. , : ! 


le s'est éveillée ce matin pour 
trouver inopinément les  con- 
ducteurs et les - wattmen des 
tramways en grève. Les. gens 
out été forcés de marcher ou 


les mänches de la momie? Y 
avait-il à côté un plum-pudding 
putréfié? Le prospectus n'en 
dit rien, il a tout simplement 
supposé, et quand on fait des 


Marseille, 3, La grève sur 
‘les quais de Marseille se conti- 
nue encore sans désordre, mais 
on craint que des conséquences 
sérieuses n’en résultent silun 
règlement n’est effectué Wien- 
nr tôt, eur on dit-que les fabrique 
.."#, . de savon et les raffineries i 
ke pourraient bien manquer de 
matières premières, 
Le comtié exécutif des Uni- 
dns. du Travail Fédérè du dé- 


04 


médiatement à l'examen ‘du 
Traité de paix entre les Puis- 
suppositiüns, on n’en saurait|sances alliées et l'Allemagne, 
trop faire, Et pourtant, si l'on|signé à Versailles le vingt-hui- 
avait songé dans la Grande-|tiéme jour de juin mil: neuf 
e, on f'aurait pas élé|cnt dix-neuf, fn'ä forcé de vous 
si fier de cet amiral. Car s'il y|convoquer pour reprendre vos 
a quelque chose d'hämiliant|travaux qui, je l'éspère, ne se- 
our un homme de mer, c'est|ront pas de longue durée. 
‘être pétrifié, Un amiral an-| Mes conseillers sont d'avis 


+ --partempnt a décidé, dans le cas. glais n'eût dû finir que liquéfié.|que ce Traité ne devrait pas 
Ts. ER is Lu trons refuseraient de tente TRS ME éniesipes : Pt être ratifié au nom ‘du Canada 


“Mae “ 
RL — — 
Accident qui fait 6 victimes 


: Montréal, 3, — Quatre per- 
| sonnes ont été tuées instantané- 
‘ment pendant que deux autres 
ont été blessées grièvement 
dans un accident d'auto, arrivé 
à Saint-Bonayenture, près de 
Drummondville, dans la nuit 
de dimanche soir. La voiture 
peus un: pont sur la rivière 
aux: Vaches et déboula en bas 
du-remblai. Les morts sont: 
“MM. Alfred Marcotte, Drum- 
mondville; Omer. Castonguay, 
âgés de 4 et 7 ans. Les bles. 
sès sont Mme Omer : Caston- 
guay et son bébé de huit mois, 
souffrant toùs les deux de con- 
tusions et de lésions, 
| —— cm © — 


| Inséparables dans la mort 


TECEr | + 
- Chiéago, 3. — “Je mourrai 

avec or, Marie”, telles furent 

les paroles prononcées par M. 
(W;_Tanner, agént de : change 

pour la compagnie de chémin 
QE dé fet Baltimore et Ohio. Son 
--épouse avait un pied pris dans 

des dormants de la voie ferrée 

ét il n'avait pas le temps de 
d'arracher de LA avamt l'arrivée 

idu rapide. Après avoir pronon- 

wé les paroles plus haut citées 

à ferma les yeux, embrassa son 

épouse et ils furent tous les 

deux broyés à mort. Un signa- 

\  dèur perdit une jambe en es- 
isayant de les/sauver. Les deux 
victimes laissent trois orphe- 


Pre : sans avoir été approuvé par le 
La locomotive du train royal! Parlement. Des copies authén- 


f 5 tiques de ce document seront 
La compagnie du ‘Pacifique soumises sans délai à votre ex- 
Canadien à entrepris il y a Émen. DA. ae , 

q ue temps à ses usinès An-! On ‘vous demandera de plus 
gus de Montréal, la -construc-| d'étudier d’autres mesures par- 
tion de seize nouvelles Jlocomo-|mi lesquelles seront comprises 
tives; toutes plus lourdes et plus|celles que rendent immédiate- 
puissantes que celles qui sont |ment nééessaires le retour pro- 
actuellement en usage sur les|chain de la paix et les -condi- 
divers réséauxk du Dominon:|tions du Traité de Paix. 

Les nouvelles machines, qui se-| Messieurs de la Chambre 

ront employées pour le service de des Gommunes: : 
des voyageurs entre Fôrt Wil-| Des prévisions budgétaires 
liam et Winnipeg de - même| vous seront soumises pourvoy- 
qu'entre Smith's Fans, Trenton|ant aux moyens financiers que 
et Havelock, élimineront désor-| pourraient nécessiter le Traité 
mais sur ves lignés des conyois|de paix et'autres fins. : 

en deux sections, cgr chacune | Honorables Messieprs dy Sénat, 
d’entre cles ‘est Sterne : Messieurs de la Chanibre 
Juissante pour trainer deux É ‘ des Communes: -’ 
ois le nombre de wagons cons-| Pendant plus de cinq ans le 
tituant un train ordinaire. ‘ |monde a-subila désolation ét 

Ces locomotives sont ‘Æôns-|l’horreur d'uné guerre qui lui 
truites sous la surveillance de} était imposée par un esprit et 
M. W.-H. Winterwood, l'ingé-[un dessein d'agression intolé- 
{nieur-mécanicien en chef de la|rables. . Heuréusement- notre 
compagnie, qui en a-dressé lui-| Pays n’a pas souffert des désas- 
même les plans. Avec son ten-| tres et des ruines qui ont ‘acc a- 
der, dont la capacité est de|blé plusieurs autres nations, 
8,000 gallons d’eau et sa pro-[mais notre participation à la 
vision de charbon,.chaque ma- 
chine pèse 480,000 livres;-les-di- 
mensions des cylindres sont de 
25 par 30 pouces et le diamètre 
des roues motrices est de 75 
pouces. La-pression de vapeur 
|de la bouilloire est de 200: li- 
vres, cé qui permet à la loco- 
motive «de développer un effert 
de tractfon de 42,000. : 

On a vu à assurer le confort 
du mécanicien et du chauffeur, 
en apportant un soin particu- 
lier à la construction des quar- 


œ au désir_des em- 
appeler une grève yé- 
(ie tn. Le ; 


fardeaux et de grands sacftfices 
que notre peuple -a supportés 
avec un courage inébranlable, 
Avec une respectueuse recon- 
haïissance, nous hous :rendons 
compte que le monde sort vic- 
torieux de cette longue : lutte 
contre les forces d’un militaris- 
me barbare et d’une attaque 
féroce. Le travail de construc- 
tion pourra être difficile et mé- 
me pénible, mais nous devons 
l’entréprendre avec la même 


lins. a. es < _|détermination et le même cou- 
PU ne [ei coupent our le ee lrage réduetlbes qu ont sou 
a 1 t pourvus de téut.ce qui peut fa-|tenu notre conduite durant les 

La spéculation et le cou ciliter leur travail. fatigant, in[#nnées de lutle. À vous et, à 


de la vie la grañde hation dont les inté- 
DE rêts vous sont confiés je sou- 
haite la protection divine dans 
votre labeur. ‘ ARE 
Le but de la session 
Comme l'indique le discours 
du trône, le que été 


nuit et durant les mois de la 
Paris, 3: Un ère de spécu- 7 cg] tiv j 
lation alarmanté sur les. ali: Une de ces ocomotives, la 
ments dans les Etats-Unis et} Première sortie des usines, em- 
sur le marché m@ndial est en! Porte actuellement à travers le 
grande partie responsable du continent le luxueux train du 


coûte la vie, dans l'opinion de prince de Galles. convoqué pour'ue le traité de 


*M. Herbert Hoover, -président tee ———— "| paix soit étudié et ratifié, Le 
de l’organisation de secours in-| Le juge à l'accusé : Canada, par ses représentants 
der-alliée, qui, à la veille de son! : __ N'essayez pas de nier, on|à Paris, a apposé sa. signature 


‘départ pour les EtatsUnis à ÿ!vous a surpris dans l'escalier, 
cordé une interviéw à la Pres-} vous deseendiez-avee-uné pèn- 
se Associée. ' Get PALAU 
. Les entrepôts dans les ports! °_- Mon président, je voulais 
du nord de l'Europe regorgent |]a “remên er”! FRE 
de vivres,: principalement de RE Li 
‘'Aiandes, de gras et de produits | PR ee 
* Jaitiers, envoyés par les .mar-! Les vers par l'irritation qu'ils 
 _ æhands de l'univers entier, diteaäusent dans l'estômac ét les 
M. Hoover. Ces marchands ont |intestins, volent aux enfants la 
. frafiqué sur les ventes en Polo-| nourriture qu'ils devraient ti- 
fe en Tchéco-Slovaquie, dans/rer. de leurs alimenté et il #7 
r- 


au.bas du traité dé paix, non 
mais conime dominion-autono- 
me-de PEmpire britannique. 11 
est pour le moins cocasse .que 
ce traité ait été ratifié au par- 
lement anglais avant de l'avoir 
été dans les dominions. La si’ 
gnature du Canada ne compte 
pas aüprès des vraiés nations, 
commié la’ France, les Etats- 
Unis, l'Italie, l'Allemagne; etc. 
Que.le Parlement’ canadien ra- 


es Etats des Balkans et èn Al-!suit qu'ils se frouvenit mal n 
-magne. Une grande quanfité|ris. Les Poudres de Miller con- 

TT TT dé ces approvisionnements sonttre les Vers détruisent les vers 
ren danger de se guspiller vulet mettent fin à cette morbidité 

< . | que les marchés du centre de|d'estômac et d'intestins si 'fa- 
* l'Europe doivent limiter. léur!vorables aux vers, qui annulle 

ne MSG AE à leur'éré-| l'alimentation de l'enfant et ai- 


pas, le laisse intact où le modi- 
fie, peu importe aux yeux de 
ces nations. Pour élles, séule 
la signature de l'Angleterre a 
de la valeur. + 


de ‘au développement des vers. Si Li Parlement canadien est. pour un. pays que J'en préteud 


PAT d L 4 
M + La x à ÿ PAST 
re D at F4: | } d'une Ne s dis nie de 1,4 mer 


CES 


L'urgence de procéder": à 


guerre nous a imposé de lourds| 


pas-comme. nation..-distineté, 


tifie le traité eu. ne le _ratifie !4 


à ac-| 
du Ca-| 


la 


yeux de 1 
ra que le Canada est devenu un 
ra-important, Presque 
üne nation, alors que la situa- 
lion internationale de ce pays 
est restée la même. Le:Cana- 
da d'après-guérre diffère de cé- 
lui d’avant-guerre, parcè qu’il 
est grèmé de dettes, que 50,000 
de ses fils sont tombés sur lés 
champs de ‘bataille d'Europe, 
pour détruiré un impérialisme 
qui, mort à un endroit, repous- 
se ailleurs de plus profondes 
racines. Les relations impéria- 
les elles-mêmes n’ont été que 
très peu-modifiées. ve 


La Ligue des Nalions ‘[fication Re a Lo 
! Le discours du trône ne fait 1e Parlement cañadien n'est pas 


: Wa Nr î ; 2 Léè droits de lu lingue 
Pen à À ‘à ise 
té sur le hanté mer de la ä 


latrait 


ement canadien à étudier el 


Si 


pas mention dela Ligué . des [Une farce. 


Nations; pourtant lé Canada a 


ves conséquences. I] s'agit de 


Sénat-américain. Par cot ar 
tièle, lé Canada: serait obligé 
de maintenir l'intégrité territ 

riale de tous les membres-de la 
Ligue, eh cas de besoin: D'’a- 
près le président Wilson, ce|{ 
serait une obligation morale, 
qui devrait être soutenue, dans 
les cas concrets, par une loi du 


Le mot que tout le monde 


; ! : : avait sur les lèvres depuis que y S 
äipposé sa signature à Ja charte |”: VV ur ,|cront qu'ii existe, au. Canada, |” 2 er dr 20 lan dr RE 
de la Ligue et cette signature MENT iüle ébait une minorité. qui a des droits|es Matiègÿs il Faut être. pru- 
inoffensive au bas du traité de. ar het par le : die minis. | Parallèl 
Paix pourrait entrainer de gra- Éé:lolméme. ‘ce 

“ R s ”, € » x , " Ft € * » » i LU 2 g- 

l'article dix, tant discrédité au sd sombres Fe Sert Ottawa, 4. -— Malgré-la-pré-beaucoup d'expérience -en-ma—— 
et qu’en conséquence son pres’ sence du premier ministre et tes les..qualités requises ai 
tige d'homme d'Etat et de di chef. de _ l'Opposition  au}-"£51€8.4 OP ANSS— DS 

omate en souffre ‘ici même et Sue : F Î , “icldi ituit.: 
Lara St gente cosmopolite |AnCe d'aujourd'hui, la séance a tion. L Ron. Fic ing Sa 
u'il a fréquentée dans les an-|£té dénuée d'intérêt. Le débat Dr FOR Lil fui NON 64° 
tichambres du Quai d'Orsay, |sUr l'adresse ne soulève que} P?f ae L sul nomme mie. 
Sir Robert Borden a imputé à 4. \ PET lée inmé re \t à la sati 
M. Fielding des: snvthle- oué ce- |bable qu'il se terminera demain cet hoinme remplit à la satis- 


avoir. La question de M. Fie 


nt canadienne voulait pas 
ér son consentement : au 
autraité de paix et au pacte de|° 
Ligne des Nations le Canada 
rés, avant que les | se trouverait eh désaccord avec. 

des do ns aient} l'Angleterre et le reste de l'Emn- 
tion du ; ce serait un coùp de tête 

‘qui mènèrait ni -plus,ni moins 
qu'à la sé 
piré et à 
- Le premier ministre avouait 
que le parlement canadien n'a- 
Nait que peu d’aùtotité en œtte 
affaire; mäis M. Fielding vou- 
lait avoir- une expression d'o- 
pinion plus précise sur tes con- 
quences internationales de 
l'acte projeté de notre -Pafle- 
ment” “Le 
en guerre contre. FAllemagne, 
au cas où le Parlement cana- 
dien refuserait desratifier le 
aité de paix?” .demande 
AE Hart: Bordes qui nait tes. De telles manifestations de 
nt et fronçant la moustache, 
s’écrie ingénument que la rati- 
u traité de paix par 


F 


teur pi D 2. M PONS 


ges ex. 1108 
plicatiôtis sur attitude du:dou: : 


vérnement er face du eaût de 
la vie et 
e lenteur faits par le ehef de 
"Opposition. Le gouvernement 
s'est 5 mé n la fade la Session 
dernière, :en comimunieation 


règler les différends 
# À et internationaux en 


ni et : 


1 ent pe de mp fraor 


naire. que deux copies: fran- 


Celui-ci ne pouvuit :acccp- 


( 


"ET. 


J ) non-rat! 
trait entrainer de plus Commerce, C'est ce qui eu a 
squences. Sir Robert | Pou “ceslretardé la formation. 1l-valait 
üssure que le foi. et ses pren mieux ‘alténdre : quelques se- 
ers ont autorisé le Par- ris maines et s'assurer les services 


des personnages les plus conte 
pétents. M. Rôbson et Q'Con- 
nor ont les qualités, l'éxpérién- 
ce et la compétence nécessaires 


r le traité de 
‘hasard le Parle- 


: 


sde der 


dont ils sont chargés. Leurs 
{travaux dut déjà été couronnés 
dé &uçcès. Un troisième mem- 
bré ‘a été nominé téemporigre- 
menf. Le premier ministre n'a 


dé que ces "copies soient .en- 
voyées à l'imprimerie du gou- 
vernement, pour--qu'il en soit 
imprimé un nombre suffisant; 
‘&t M. Cannon A ménacé le gou- 
Vernemient : de soulever . une : 
‘ SN Dre .| français, A à IL AR RES 
qesren: done Li pre to Le premier ministre rappelle 
, D bei) “ a ia été fait pat le nti- 
lait abactu ment. continuer. læ} ta a Tr e se RUE 
discussion sur le tfüfté de paix. | #9" hé Au 
avant que chaque député de l'Agriculture pendant la guer- 
langue française ait eu. en sa |"° Pout abaisser le coùût-de la 
disposition une copie du traité | Vi: La hausse dés nécessités ? 
dé ga 2 dep ses, + rs dé la vieest déjà en assemblu- 
mier-ministre et tout le eabinet a . Le ah nide 
été oblidé ier. : és $ s 1e 
ont été obligés de plier, au mé mains du parlement canadien 
1 faudrait pour que le coût de 
la vie diminue une action com- 
meme yr PEL binée dés youvernements mon 
pe es en DS Br JA ms er diaux. Une commission indus- 
| PE RE. 0 À Mr trielle a été convoquée à Otta- 
rce n'est qu'en consérvant'ectte ; f—— 


aration d'avec FEm- 


permanent Serait, coïmme les 
indépendance. 


manderaient, un -Canadien- 


Canada resterait-il 


M contentement manifeste de la 
 |majorités des députés unionis- 


attitude et en la répétant quand 
l'occasion s'en présentera, que 
lé gouvernement et les députés 
de langue anglaise ‘se convain- 


ministre du Travail. - Le gon. 
wernemént attend le résultat de 
celte conférence pour élaborer 
une- législation ‘onvrière, Dans 


dent. 

[à . à ' 
É Le premier: -ministre avoue. 
se que Sir Henty Draytorr n’a-pus 


es à ceux dé -la: majô- 


aignant telle- |rité. 


tière de finance; mais il à tou- 


.? n » N q ; "4 
nombre des orateurs de la $é- s'adapter à sa nouvelle posi 


eu d'intérêt, et il est tout pro- nistre des Finances, Cependant 


après-midi ou demain soir. Le faction de lows le poste de. mfi- 


: lui“ci pouvait très bien ne pas!“E _. 1 istre des Finnne ; % 
Parlement., Mais que n’a-t-on Ù À 1! débat sur le traité de paix et le|"istre des Finances. Le pre 
l:: 


pas fait de nos jeunes gens 


: j :, - ding était pertinente, comme € : le l'O i i 
canedi ti Rain 2, | À nagsn Lin At as. | dé osition a fait un peu 
diens, au cours des derniè fe le: acraénoore;-tant que le jEmime ncera lundi par un dis pp Si 


res annéés, au nom d’une sim- 


mie ini » i se tiré 
ple obligation, morale, disaient | P'emier ministre, qui s'est tiré 


sante plus: mal qu'il a pu d’une si-| POUF : d: 
les uns,.de convenance, disaie pi EAN ti jeudi septem:!" Sir Robert Borde. vcone 
ere " At tuatiôn embarrässante, n'aura |ti0n jusqÜ'ä jeudi, lé 11 septem : Purden elut 


:  Lnga sd Léo j ‘le demandant que tois les, dé: 
pas fait connaître à la Chambre bre, date fixée pour la fin du és: Gntsis Ni Le op - 
EX 1. à ë à °F | débat, Quêtre séances seront Putés : unissen eufs efforts 
ce qui, en fin de. compte,:sur- À läne le il di HE 4 SA) 

n Ne : .|suffisantes . pour  permettre{ dans les meilleurs intérêts da 
viendrait, au point de vue -des lose Les à 4 dé-\pays. La guerre a rendu mat- 
intérêts du Canada, de l'Empi-|" EXPrIMer leurs vues aux dé- ; : 

re Britannique et du'mondé en- 
tier, si le parlement canadien l € A 
. À A ” à i 10) > $ ‘anada sont jiinmenses. Les 
refusait de ratifier lc traité del Plèmes' internationaux ae sont a son 

paix. 


les autres? ! 4 
La question dela Ligue des 
Nations sera certainement dis- 
cutée en Chambre, bien que le 
discours du trône la passe sous 
silencé, comme pour le traité 
de paix, la signature du Cana- 
da au bas de la charte de la Li- 
ue ne vaut qu’en fonction de 
‘Angleterre. 
Devant l'évidence de nosl{ 
liens de plus en : plus serrés 
avee lAngléterre, les députés 
ne $sauraient passer cette ses- 
sion sans aborder la question 
de la fédération impériale. 
Autres questions 
D'autres questions, telles que 
la prohibition, l’amnistie des 
déserteurs, la loi: des . élec- 
tions, seront à l'ordre du jour: 
et-soulèveront des débats pas: 
sionnés. Tout annonce une ses- 
sion d’un certain intérêt. 
L'adresse en ‘réponse au dis- 
cours. du frône. sera: proposée 
demain par M. Whidden, et sé- 
condée par M. Mcintosh, Une 
fois de plus la langue française 
sera méconnue. (l’est peut-être 
jour amoindrir le mal qu’à la 
n de la séance. d'aujourd'hui, 
ir George Foster -a: demandé, 
en français, que cette adresse 
soit : proposée à la séance de 
demain. * Les: députés français 
ont su gré-au ministre du Com- 
merce de cette attention en ne 
Jui ménageant pas les applau- 
dissements.. : 


î “TR e--à— 0 

… Oftawa, 3. — M. Fieldimg, qui 
depuis-le commtéricement de la 
session..a pris placé aux côtés 
de M. D. D. Mackenzie, chef 
temporaire de lOpposition, a, 
par. d'habiles questions, fait 
sortir le premer ministre de ses 
gorrds. M. Fielding a osé de- 
mMander, sans rire, äu premier 
ministre, en quelle mesuie la 
non-ratification du traité: de 
paix par le Parlement canadien 
affecterait les intérêts du Ca- 
nada, de J'Empire Britannique | 
et du monde entier. Le premier 
ministre ä cru pouvoir s’é- 
chapper des griffes de M. Fiel- 
ding en répondant que la seule 
conséquence que cet acte àu- 
rait serait simplement unechan- 
gement de gouvernement. La 
“réponse était déjà un aveu que 
la ratification du traité de paix | 
par notre Parlément n'avait pas 
grande valeur. Mais M. Fiel- 
ling voulait un> «tive: répon- 
se, et il réitéra £a question, La: 
chute du gouvernement actuel 
et le changement du parti au 
pouvoir: seraient une consé-! 
quencé de trop pauvre: valenr, | 


{ ; ; Pe 
è # ’ 

1 DAT 

f 


pen 
: 
Es 
L 
. 


dans l'enceinte de la Chambre 
. " Ê A 
des odeurs de poudre. Là dis- 
cussion du traité de paix ét du 
pacte de la Ligue des Nations 
sera assez acerbe. Les frufts 
de la. participation et des lois 


SE ee 


MODES D'AUTOMNE 


Grand et attrayant étalage de modes d'automne 


fé 


eu mme 


" 


344 RUE MAINSUD - + - - 


pacte de la Ligue des Natiéns [mer Ministre eroit que le chef 


N LH di H £ an LL 
cours du chef de l'Opposition | !"0P : ge ET A r sea rt 
kpour continuer.sans  interrup- | MArques sur AE. Nick 


Ye # . n \ 
putés qui voudront ‘pagler ‘sur | Vaisé la situation financière du 
cetté vaste-question. Les pro-| pays, mais les ressources du 


{point de ceux qui d'ordinaire| membres de la Chambre peu- 


< FA EU attirent: l'htténts . | vent avoir dés aspirations poli- 
La Ligue des Nations attirent l’atténtion de nos, re pirations non 


Cette passe d'armes ‘entre le 
premier ministre et M. Fielding 


présentants ét il eff tout natu-| tiques différentes, mais.du choc 
rel que peu de députés puissent | des opinions jaillit la lumière: 


“he les traiter avec l'autorité vouf| Discours français 
et d’autres incidents survenus || : , ‘ x sn 

: v. . |, lue et Ia science nécessaire. Après quelques crikiques, de 
au cours dela séonce ont laissé! . cons oo! ie Î 


Le ehef de l'Opposition a re: | M. Sinclair contre l'adminis(ra- 
pris le débat sur l'adresse, et|tion des chemins de fer par le 
son discours s’est borné-à quel-| gouvernement, MM. Mackie et” 
ques remarques de détail sur D'Anjou parlent en français” 
l'administration du . géuvYerne-] Leurs idées sont différentes, 


el pittoresque dont il a le se-{listes. . 
eret: Son'imagination est dé:| M. Mackie, de pére Ecossais- 


Ja parole en français à la 
poseur et au gecondeur de Va. Chambre des Communes. H 


lé prince de Galles, dit qu'il ne|Peuucoup se scandalisent. de ,° 


temps pour répondre à linté- (A suivre en-page 9) 


7 JEUDI, VENDREDI, SAMEDI, 
11, 12, 13 SEPTEMBRE 


CHAPEAUX | MANTEAUX , COSTUMES 
ROBES: JUPES BLOUSES:: 
-CORSETS  SOUS-VETEMENTS CHANDAILS ; 
“GANTS: 7" "ha OS 
Nous vous invitons cordialement à venir vis@er notre 
"exposition de Modes d'automne. | 


RP NSS EN CET MERE We se 


| … En face de la Chambre de Commerce 


raité-: ter immédiatement: le paste de” À 7 
seulement du ae de er. à 38. Se 


pour menéèr à bonne fin la tà- ‘. 


pas dit si le troisième membre - 


convenances. et la justice le de". 


wa pour le 13 Coupant.;par Îe :: 


ment unioniste:!"Tl a exhalé ses [Car Fun gst unioniste.et l'autre (€ 
dei cn out 416 le créance plaintes dans ce langage imagé| libéral, aux tendances nationa- 
naturelle ont été Lrop  amers 
i 1& L 5&  F S , 
Pr Se bordante et le fond de ses dis-|ct de mére canadienne-françai- 
mot -dir-, eertaihs articles dul°ours s’en ressent. se, s'exprime en français avec 
pacte fi? la Ligue huageant 1: |: Sir Robert Borden Jaisance.__ Ce n'est d'ailleürs pas_ 
Canatr-tassner par les ar-!. Le premier ministre, ‘après la premiére fois qu'il adresse 
mes, S' le faut, l'intégrité ter- [les compliments d'usage au pro- 
ritoria +de trente-deux nations Re nds 
M. Ernest Lapoinic. en atli-| dresse, et après avoir exprimé | Parle de l'article dixiéme: du 
rant ‘uz cet article l'attention |ses sentiments de respect envers pacte de li Ligue des Nations, 
de la Chambre, a laissé prévoir Re 
qu'iteeunt-Fobjet d'une discus-[lui faudra pas. beaucoup de [tt article; il est eependant né- 
sion -é reu$e, comme il le fait | 


aux reproches. }. 


Lg 


“ 


d 
s 


ns extrabr- | *%et le juge Robsons der Winni- La 


LS 


Liste dés brochures, tracts et jotu 
mes que l'on peut se procurer au Ca : 
mie de FE a LAVÉtendr re ct 


Boniface; 


. DE ÉL'ACTION + nANE ASE" 
Almañsch de 14. Langue durs 


guise": 1916 4° 
“Almanach de Li La qu 
g 107 


Ar 


ta Lane ve 


| PROPAGANE: | 


Fi 


th: 


me 
Ê 
en 


Li 
1% 


‘ ondolé, anres. 


LL. Lioite 


Mt ef 


‘Froment, 


“drale a chanté avec suc 


sser 


qu 


plei rs, his 


du. 


Nord, 3 Jo! i'iette. 


‘ LÉ iniént 'Anrisalihs jé au Hhedÿ: Paci ue Canadien. et la 
SEM. les tre . Le fg 


me Per Brunélle et-Vir cent. 
Le choeut de-chant-4trenète 


:Du- 


es la 


des! morts harrmonisé: 


présentons à fa faille 
bikes ithiquress 


tournée du Prince 

NT FE 
Dafänt ni séjour au Cana- 
da, à partir de St-Jean, 'N. B. 


# 


qe une sé esse ca-| 
| nadiens sg 


que! célui-ci-peurra 


‘consulter durant sés moments 
de loisirs. Un! double de ch#f-| mod 


Hu 
d présenté au 


de ces volumes sera. plus | 
printe pour 


où,# delbtirqua sur notre 80! ç4 bibliotheque privée en An- 
gleterre. 


| pour la premiére fois. jusqu 

sn retour 4 Montréal, ie 27 oc- 
tebre :prochaisi. le prifée 
‘Galles arr vovagé en territoi- 
is nadien sr une distance 


de. que t 
FR te -prine 
LM fera Calder. du _-déparl 


COGOIQUE-TANS ment des Voyageurs, qui repré: 
Loet itér raire ‘compilé par les sntern le compagnie 


Parmi tes offic és du Pacifi- 
Cañathe +: qui ‘accompagne- | 
H faut nommer | 


durant 


Le. 


, 


"4 "1 
ous s us 
RS A te 2 4 DA 51 
dt Le 


Le clother, dont la flèché nni- 
jy en son genre, s'élèvera à 
modele à dans les : ést. un 
“Éd. En d'éé 
räyonnerà dans les 
r* aux alentours... 
le Enfin Beaumont aura. son 
ise, ef si-l'on juge d 
| Fapparence des plans, cîle fig 
rera. avec Nonneur à côté de 
wimporte quel temple dejà ex- 
istant dans l'Ouest. 
% > afin e-— rt 


L 


> cut RUES: ci 


aènain: de. Lt: de 3 lantorités du: Pacifique  Cäna- tout be voyage aller el retour.,ei Gaufreé tués. dans les F - | 
a LT se: 1919 L ; ce dien, ‘soit à unapris le voyage 4 RG. Charuberlain. chef du! à": concours ; 2 ' ; 
LE L'o- , M: P, ‘Lo É Luar eaë de- St Jéan à Halifax et dé partenient de la Sürete, “qui | : ar ae. 
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battu Bennett ct Holmes et ga- 
gné le championnat de l'Ouest. 
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forcément retardé les finales du 
‘Tournoi annuel de Tei nnis ap 
| l'Assacigtion d'Education à di-| 
manche “le 17 sp ple mbre:.pro-|rene *ontre ront Koy et 
{danñs'les fiñales en “doublé pour. 
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fice Donnidn,. dimanche 


Le public sé rappu} 
doute les noms de 
Holmes et de LoŸe et Verlag U 
- ls experts de Wininpeg qui $e 
sont livrés un duel si ge 


Saint: Bonif: ice il y a deux ans. gr 
Roy et La. | une assistance idéale pour: les 


jouéurs de Wininpeg dans le 
PASSÉZ pOUTQUOÏ ME PAS faire def 


dé l'Ouest Canadien, n'ont été | même pour les’nôtres, dim in- 
défalie te par Bennett et Hole , à 


{: L'ouverture du ain un el! de S: uut-Bonilace jusqu'à l’âge 
lieu jeudi dermier. 


a APection comme on-en 4 
r Rient vu SaintPoniface 
et qui devreit attirer une très 
a constitué 


LRLr hide Ver Maison nr 


rues--H 
marnx tions HITCITER 


“0 No ds. rue Langevin, >)0FNICT, € hanc € lix Ll 


du:diocèse d'Edmonton, 
visite, chez 'sa mére, 1 
: Provencher. 


ande foule, 


. LA 
bien org ü= 


ce rte, Pb By “récent tournoi de 


Winmipeg-pour ec hasmpionmatt 


he doit + 


sen août, accordé 
permis en construction pour L a |” 
somme de #1 11,020, soit 516,470 | 
de plus qu'en août 1918. ; 


{che prochain. ; 
De joutes commenceront à 
Le tlré sera servi 


Pre “er rgast at été éliminés ' 
du méme tournoi qu SU s une 


le-Fayenée 
Sur Jo té rraini. S prfirel à sl | 


_SACRE COEUR 


LA ass et-Mllé 

nette : Téste rt sont revenues, 
{semaine derñière, d'une prome- 
* deux mois dans l'est. 


ex chute hotte 
renst ignés Va vale, de 


uatre générations 
QuatrS 4 me AL, n'en rase \ pas scuL. 


Maison Collin À. 


Primeaû est pin 
jt UE umrvoyuge deæquelques 
semaines da ins-FesE. * 


à Montréal le 
+ : l'âge de 78 ans, | 
>. Desrochers, 


laout de gt 


pére.de M... 


(£a face de l'Hôtel-de-Ville 


“ AVENUE PROVENCHER 
- taint-Bonifoce, Man. 


teur da e A à ce Sn à loutes les-classes dé 
LCL OHIOTION, 


‘de ses deux fils, 
el Geor ges-Etienne, 
; | Promenade de plusicars 


est revenu Lg gg * 
M. et Mine Ovidé Bellavance, | 
S: alt: B onifa [TU ER 


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à 3 heures pm. : 


plus et plus 
trouve fans une 
: critiques de 5: 
écrit Mike Î 
Marie-S: me G 
sujette à des patoits ions eut 
Chaque jour-je mi 
lus Ÿ: ble: 
’ierre m'a ren- 


| l'assetmblé { ra jour de 
ièlé: Saint-Jean:Baptiste 
Winnipeg, pour faire le 1 
complet du pique-nique et dis- 
[cuter une question très”irpor- 
Tous les merbrts de la 
‘Canadiens 


L lis de plus en 
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dbrés de tous droits. 


Dimanche:soir 
— [lieu sous la: “onto rs R. P. 

RENTREE MENT NET Normendin, 

Sac re 4Cüe ui 


sang el re- 


0 ME, c uré, 


des dames + 


‘On sa randre-4ompts que nous - 
Fmportons surtout des maisons 
eanasiehnes-françalses. 
‘fait d'acheter chez nous, : 
enceuragta les nôtres. 


Daroisse di 
1 Inn ipey, « 
Mori ñ. is “ile, LP: 
Des sr0€ he rs, 


l'assemblée 
jeunes: fillés ‘de ‘la 
pou discuter:et faire les pré- 
23 ans, et Malvi-! parations pour ün bazar Qu une re 
rer. sà Te ‘ag Tee “de 6 ans 


"Bedüe | 


“cial pour les premiers venus 


Le 


deudt. Jr. me TE À 
PA 29 |: 

0 | 

.Rég. 60, :J« udi ARENA :: SUR 
i 


RARE 


écoliérs. Je “uidi TES Du 


verge 


Reg, 65 à S12 
ka paire, 


Jeudi: |, Æ 
25 “hdi. 2 pour .% 


Jeudi TA 4 
; .ÿ .OW et 
Jeudi: $15 et- 
pie 
F4 


Jeudi 


eo LE 

Judi,. 

là livre. 
Jeudi, x livre. ….#:...24 


Jeudi, la livre 
nes. Jeudi, la parré 


S.Joudi, la paire»... 
ct Lisle. Jeudi 


Jeudi). 


dames. Jeudi 


Re Moitié prix 
Rég. #2,75 à #3. Jeudi 1.95. 


-Moitté-prix tte t415 
dendi A PAS te |: V5 


SAINT: BOAIFACE [NOUVEAU CHIRURGIEN 


Ba population française 
{Manitoba aura bientôt à sa dis-| 
l re etre chirurgien en 
lia personne du docteur Raoul 
i|Taché, d'Ottawa. Le docieur| 
l'Faché est un ancien élève.des 
| Jésuites: \l fréquenta le collège 


de dix-sept ans. 
FLE docteur Taché "a 
quatre ans en Europe et a fait] 
l'un stage aux-principaux hôpi-! 
taux de New-York. 

Mine ‘Faché est sie arrivée 
à ER intebonitace Le Dr T'achié 

ra bientôt. £ : 


| ‘Dans dix ans la Ts 
guerre; gare à la Suisse’, 
disent les Allemands 


Le correspondant. du Dam 
Délemont, à-æ suite | 
td'une tournéesfaite dans toute | 
.|r Allemügne dû Sud, du Jac, .de 
fé onstance au Rhin,et de la 
{frontière suisse à Munich, rend 
compte des impressions qu'il 4 
[recueillie s au cours de eonver- 
sations avec des personneés.ap-! 


+ E ich 


32 RUE CATHEDRALE,,SS. BONIFACE 1 


f _—— 


l 


Je coupe le prix des. Viandes de qua- 
lité C'est mon, affaire, 


des bourses ordinaires: 
peut obtenir.’ Toute ma viande vient 


d'animaux inspectés après l'abattage. 
| Tout ce que je vends est de première 


classe et il me fait plaisir de vendre | 
suis à prix réduits de bonnes viandes. 


Vous pouvez épargner de l'argent ét 


obtenir de bonnes vianres én venans 


chez. moi. 


SAMEDI PROCHAIN Û 
Rôti dans le sirldin 

Hôti, de:coté, Boeuf 

Rôti de groupe Entiere 


Rôti ‘d'épaule :$ 17-58 .18 :: 


Steak dans la ronde 
Steak dans T6 "SITIONN 
‘Bouilli de. poitrine 


LEpaule de vesin 

Rôtl dé veau, Lohige . DO We : 3 
Vedü. Quartier. de derrière $ .24 
Bouilli de veau, Poitrine $ .10 
Bon beurre de ferme $ .55, 


h.… Bord à des prix très modérés. 


4 


Ju s-én taftétus. Si AIT. d “S 498. 
: Bottines lucées pour dames. V EE noir. Ré L 85. 15, L 495 
Kimonas japonais. Soie habutai. Rég. $1025 à $19. J ES 


. “*Smocks” pour dames. Rég. $3.95. cudi pagssivers 95 
Vélements pour enfants. Voile et Moon Fi SA.50. : 
_Robes d° intérieur. Joudh:.,...56 pre 


Bouillottes London. Jeudi: 


Balais “push pour plancher. 
1 


: Coton cireulajre’ pouf oreiller. Rég. ‘16. jeudi. la yye ” 42 
Shirling Oxford. Rég. 930. 
Chintzes. 


Le pout dan S. 


Taies ÿ-oreiller enveloppes — 
‘Crèpe rayé. Jeudi, la HE de La Nr ARR ES es : 
Coton lavable. Jeudi, la, verge ,.,.:.2 Né ANNEES CADRES | * 

Pweed anglais pour costumes. F inf. laine. Jeudi, ve" 69 : 
Cachemire ‘anglais. Jeut la vérde "0/0 12 ra F 
Soldes d'étotres à costumes. Jeudi :.::..::.::3 90 4 70 
/Sigili-velours fini soie. Jeudi .,....,:..........,.. 79 
Soie naturelle-Honan. Jéudi ..... Sr Ve ar 15 TT 
Satin de Chine noir. Jeudi .:,.... | ; SAUT CCE Er Te 2 Ven mu À 
: Papier peint. RON à PO L'O P à  AL  rarar ON 55 : 

1 pinte de JAMES vernis el pinceau. Jeudi, les deux .85 


{la popul: ition: 
leux pour 
dulrevanche règne partort, 
“Aujourd'hui, disent ;es Alle. 
mands, nous sommes-obligés de 
courber la tête, Gevant les Etats | 
ctrangers ct de supporter” 
régime honteux; mais un lerps, ‘tions, doit garder son armée in 
viendra, dans peu d'années, où | {acte.” 
nous*rétablirons nos, 
(A8 qUI"MOS condsiront à ia 
” servi, vicloire contre les alliés." 
Le,corrgspondant ajoute : 
“Beaueoup de ces Allemards 
fixent même ‘à dix ans le 19: AA ; 
ment prévu pour une nouvelle | 4U! l'a prise, w 
guerre mondiale. Alors, disent- 
$, his ne. sé 
| pas par 
[Rhin, 
mais par la se cute porte ouver- sur Ja tête: “Je me 
6: Ja Suisse.” 
Dé nombreux citoyens suis- vail aprés a 


1 
| 
| 
|| 
| 


à vrai dire;| 
c'èst mon ambition de maintenir les] 
| viandes de bonne qualité à la pprtée:f 
J'achète et] 
vends les meilleures viandes que l'on! 


Emière "8 13: 


mé--Ar-moreeau- 8 2401 


: CANADA + 


mepe-—p 


Mouillotte s: ù conserves, Emaillées. Jeudi RUSSES à à 1 


Casseroles”à rebord. Jéudi ..... dent ne are comte , 


UE -souP”. À La CC OR ON POMEUEE 


147 PROINÉME WYAGE- "+. à: 


Bidon à déchets. Jeudi 
Cékeri et oignons. Muürque TEE Jeudi: Moitié prix: 09 
ca King Beach aux framboises. Je udi, la jarre. * 4 
Gelée King Beach, Jeudi, la jarre, ©... 07 
. Essence de cufé Armour. Jeudi, la bouteille DRE ES DS DR 
.Fèves au lard Libby. Jeudi,-2 pour ..../1:..:.... + LE. :! 
Conserve sde! poulet. Marque Mephisto.Jeudi, da bte ? | 
Thé noir spécial d'Eaton. Je ‘udi, la livre :,..… due 7 Ê 
Café frais d'Eaton. Jeudi; ‘ia livre ...,..1.:..:..,. 37 
Huile de pistaches. Marque Bizet. Jeudi ....$ 80 à 3.40 | 
“Scones” au blé. Jeudi,.2 douzaines pour ,.7..:.:! F0 
{Muffin$. Jeudi, 2 douzaines hr PARENTS UNE . 2 .) : 
Güteaux Prificess” Jeudi. chaque :....... DE LE AE fi 
Eire “Standard”. Rég. $17.50. Jeudi ............. 9.9 | 
È ie res déftable, Jeudi ......... RE FE 3,95. | 
pe QU ATRIEME: ETAGE = RE AM 


Chants. populaires. CPE 1 Jeudi 4. ii $ 10 

“That's the Kind of a Girl 1 Megn”. Rég. 25. Jeudi 48 s 
Flanelette grise. Rég. 38. Jeudi, la verge .........., ni 
Grosse toile. Rég. 45. Jeudi, la verge 7... A 
Sheeling. Rég. 73 pro te OR à de PR AE pan da para 69 ë 
Coton. cer, Jeudi, la NT AR AN A AE 27 


Jeudi, la verge » ‘ 27. 
dental tive nets È 


C LIMITEC 


F :. CANADA. | 


nn marie mme craie 


Il n’est pas dou-. ses résidant -dans l'Allemagne 
lui que l'esprit ée {niéridionle confirment ces d& 
lelarätions. Et le correspondan} 
Lonelitrs fi ns 
“La Suisse, mème lorsqu'elle. 
Fun, fera partie de Ja Ligue ‘les na- 


-mopar- La à inacis 
M MD “#7 


REMPLISSAGE PSE, 
La parole a été, donnée k 
l'homme, mais c'ést la femnæ , |! 


FE 5 


produira 
à Belgique où par Île 
4e fortement gardés, 


La fe uuue de: Soerutg, voy as 
que son imarf n'était point énfûu 
de ses cris, dui jeta un pot d'eau 
doutuis 
gs jbie: n", dit pri, rs AS Fe 

ir. tant. tonné." 


: - meme mn 


DEUX COMMIS D' EXPERIENCE et DEUX | 
GARCONS SANS EXPERIENCE, MAIS INS-. . 
FENTE: trouveraient position permanente à la 


‘Banque d Hochaags: 


"WINNIPEG, MAX. 


Faites tout. mettre | en ordre: | 


MONTRES, BUOUX EN OR. ARGENT QU: 
UTRE METAL 


Attention RAA spéciale suPouvrages : sur 
commande.  : FC 


| Commander var la poste. Prohipt service. #2 0 
très bas. Satisfaction assurée. 


EUGENE BOISMENU. | 
Téléphone Garry 1324 
pare Te 490 rue e Main
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Full text of "La liberté (1919-09-09)"

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